La mort n'est elle pas la plus belle des libertés...?

hj: je suis désolé...

Je marche...tête baissé...Habillé en entier...Jean noir...Doc Marteen's noir...matte...Chemise blanche à manche longue...veste noir...ceinture en cuir noir...Chaîne de pantalon lourde...mon gantelet de metal...J'arrive d'abord dans les vestiaires...J'aouvre mon placard...j'enlève que le haut...le reste...j'en ai besoin...ma gourmette a mon poignet...et je sors un outil que je glisse dans ma poche...direction les douches...L'un après les autes j'allume les robinets...Les goutes par milliers tombent sur le carrelage pur et propre de cette salle d'eau...mon corps devient humide...mon pantalon est trempé...mes chaussures laissent un bruit de "splash" dans chacun de ses pas...Je trouve le douche principal...au milieu de toute...Mes cheveux se plaquent doucement à mon visage...Je ne bouge pas...Mes bras le long de mon corps...la tête un peu relevé...

Q:" Il faut une fin à toute histoire...la mienne...s'arrête maintenant..."

Je me retourne...pour pouvoir regarder pleinement la porte de sortis de la salle de bain...réservé aux garçons...Je sors maintenant l'outil...petit...simple...plat...mais tellement dangereux...ma lame de rasoir...Je m'installe...je m'assis...Ma main droite...avec l'arme...se dirige vers le haut de mon oeil droit...et la je commence la descente de la mort...J'enfonce un peu l'objet dans ma peau...et descend...celui-ci crée passe par mon oeil...et s'arrête vers le millieu de ma jou droite...

Q:" J'ai trop vu d'horreur...J'en ai marre de souffrir de ce que je vois..."

Après ma main se penchance sur le poignet gauche...une coupre encore...le liquide proupre s'en échape...comme de mon visage...puis je change de poignet...le droit...même opération...le sang dégouline...la douleur est là...Je prend à présent la lame dans ma main droit...et la lance fortement vers l'avant...Elle tombet et glisse sur le carelage laissant une trainé rouge sur le sol...Je regarde mon corps...qui sera bientôt sans vie...

Q:" Enfin...je serai libre...Après tout...La mort n'est elle pas la plus belle des libertés?"

Ainsi...quelques minutes plutard...je sentais mes yeux devenèrent lourds...Très lourds même...Je sentais mmon corps partir...je voyais le sang coulé dans le fond...ma vision se troublait...Je me sentais pas très bien...Je posa ma tête contre le mur ce la douche...

Q:"M...maintenant....je...je vais...dormir...un....peu...."

Mon corps ne bougeait plus...Ma consicence partait...Je vais vous rejoindre...maman...papa...j'arrive......

(je te l'avais dit que je le ferai Rine...Je te l'avais dit...]

[ Tu sais très bien ce que j'en penses Bakka]

L’oublie n’est-il pas la plus douce des rédemptions ? C’est ce dont Rine était persuadée, là, allongée dans le lit de cette affreuse chambre, de cet affreux pensionnat mais l’oublie ne voulait pas montrer le bout de son nez… Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle ne le méritait pas, elle avait été trop aveugle, sourde et muette pendant trop longtemps et si elle ne s’était pas montrer aussi étroite d’esprit, probablement qu’Anko… On n’oublie pas le passé, quoi qu’il se passe il finit toujours par nous hanter à nouveau.

Rine soupira en s’asseyant sur son lit, balayant la pièce de son regard doré, rien ne lui plaisait ici, ni la cohabitation, nie les pensionnaires eux-mêmes, elle haïssait ce milieu presque autant qu’elle ne se haïssait elle-même. Ce n’était pas son monde, elle n’avait rien à faire ici, l’envoyer dans ce pensionnat pour délinquant avait été une belle erreur car la jeune nipponne était loin de vouloir changer.

Brutalement, la jeune asiatique se leva, il fallait qu’elle bouge, qu’elle fasse quelque chose, l’ennui commençait sérieusement à la ronger à ce stade là de la journée. Claquant toujours de la même manière ses talons dans les couloirs, elle s’avança vers la salle des bains des filles pour voir si il ne s’y trouvait pas une chère tendre âme à torturer. Mais un bruit d’eau qui coule l’attirait vers une tout autre porte, un tout autre jeu également, provocation, manipulation, tricherie, un sourire naquit sur les lèvres de la japonaise, son jeu favoris, restait à savoir qui se cachait dans les salles de bains masculines.

* Enfin un peu d’amusement …*

Ce dont elle ne pouvait en aucun cas se douter, ce dont elle n’aurais jamais imaginé ne serait-ce que l’esquisse était ce qui défilait sous ses yeux. Elle déglutit difficilement, son esprit était comme bloqué, qu’est ce qu’ils ‘était passé, tout ce sang, elle ava, ça un peu plus pour découvrir le visage de la personne qui avait commis cet acte

« Oh merde ! Bakka !!! »

Bakka était encore un mot beaucoup trop faible, c’était pire qu’une idiot, il lui avait pris quoi encore ! C’était pourtant simple à comprendre, une lame de rasoir de l’eau et quelqu’un. Suki elle-même s’était déjà amuser avec des objets tranchants, et al cicatrice le long de son poignet droit était là pour le lui rappeler. Mais que faisait-on dans ces cas là ? Qu’en savait-elle, on ne l’avait jamais encore confronter à ce genre de situation et elle s’en serait bien passé à vrai dire…

Titubant légèrement et sans vraiment réfléchir, elle retira la veste qu’elle portait et appuya sur le poignet de jeune homme de toute ses forces, tentant également de tapoter (bien que la joueuse est envie de te foutre un claque) ses joues en parlant d’un voix plus sincère que jamais, mais plus brisée et faible également qu’elle ne s’en croyait capable :

« Lucifer abruti ! Tu peux pas crever ici, c’est pas un endroit, réveilles-toi merde bakka ! »

Rine regarda désespérément autour d’elle, dans l’espoir que quelqu’un débarque en blouse blanche comme par magie pour s’occuper de Quentin , il ne fallait pas rêver non plus, les hommes de ce monde était bien trop absorbés par leur pauvres petites vies pour s’occuper des autres. Et c’est là qu’elle l’aperçut, le cœur de Suki battait si fort qu’elle avait l’impression qu’il allait exploser,sa défunte petite sœur lui faisait face, elle souriait, de cet air angélique qu’on lui avait tellement connu de son vivante. Rine était-elle folle, elle aussi ? c’était de famille ? La jeune femme secoua la tête et fit une chose qu’elle ne se serait pas attendu à faire un jour dans sa vie, non, elle aurait préféré mourir que de demander en hurlant :

« Au secours ! Aidez moi!»

Bien entendu suivit de beaucoup de supplications dites en mandarins que personnes ne comprendrait probablement mais elle s’en fichait, il y aurait bien quelqu’un dans cette foutue école qui débarquerait… Appuyant toujours désespérément sur la blessure au poignets du jeune homme, elle posa ses prunelles ambres sur le visage de celui-ci, il ne pouvait quand même pas la laisser toute seule… Il avait mentit lui aussi en lui disant qu’il l’aimait ? Elle aurait pourtant du s’en douter, mais non, comme une idiote elle avait voulue y croire, voulue donné du crédit à une promesse faussé par sa mégarde.

Une larme ruissela sur la joue de la nippone, roulant sur sa joue avant de s’évanouir au sol… Rine se mordit la lèvre jusqu’au sang, son esprit refusant de raisonner avec logique, son sang froid habituel, la laissant comme une enfant face à ce qu’elle était obligé d’endurer la vie. Pourquoi ne pouvait-elle tout simplement pas détourner les yeux et s’enfuir, pour aller chercher de l’aide ? Non, le temps qu’elle aille à l’infirmerie, il aurait eut le temps de mourir cent fois, et elle ne voulait pas qu’il meure seul, elle ne le laisserait pas…

La seule chose qui parvenait encore à l’effrayer, la mort, peut-être était-elle maudite pour voir autant de personnes mourir dans son entourage, une autre larme coula, puis une autre avant que ces petites larmes ne deviennent un ruisseau qui semblait ne vouloir cesser de rouler sur les joues de la jeune femme… D’une voix faible, elle murmura simplement des mots incohérents :

« T’as pas le droit… C’est pas juste, t’avais pas le droit de faire ça t’entends… T’as pas le droit de me laisser ici… Je t’aime… »

[Je sais Rine...je sais...je suis un jolie Arschloch...Je le pense en plus]

Des sons...bryuants...calmes...doux...violent...tout arrive dans mon esprits sans que je puissa comprenre, ce qu'il se passe réellement...Ai je vraiment réussit...est ce que je suis devant le Tribunal Sacré...Là où St Pierre...Dieu...Jésus...Le St Esprit sont tous réusnnit?...Il faut que j'ouvre les yeux...Doucement...difficilement...Une lumière éblouïssante m'aveugle...Suis je dans l'Eden?...Au Paradis?...Où en Enfer...?...Délicatement...mon oeil s'habitue à cette clareté...blanchatre...Je sens quelque chose...Le vertige me prend...je ne comprend pas...Qu'ai je fait déjà...a...oui...c'est vrai...Tranquillement l'apperçoie une personne...qui parle...Quelques mots sont décodés dans ma tête...Ma tête a du mal à rester droite...Je regarde mon poignet...froid...mon corps tout entier l'est...J'observe maintenant cette personne...Elle continue de parler...de s'affoler...C'est...

Q:"J'aurai jamais cru...que ca serait toi...Ah...Ah..."

C'était Rine...Satan...La personne que je n'aurai pas pensé venir ici...Sa douce voix m'enivre de douceur...tandis que ca peau si tendre et belle...me touche...Cette personne si intéressante...si douce...Sensible...mais pourtant forte...J'aurais jamais cru que je verrai une personne comme ca ici...Le sang se mélange de plus en plus à l'eau...Mon sang sur mon visage continue de couler...mon oeil droit me fait mal...

Q:" Quel piètre homme je fais...Quel con...J'aurai du t'attendre...surement..."

Une larme coule le long de ma joue...cette perle liquide de crystal...J'ai du mal à rester connecté au monde...Ma tête penche vers l'avant...La nausé me prend...les vertiges continues...Mon coeur balance...s'enflamme...cogne...

*Pas maintenant...Laissez moi finir...au moins un truc...*

Q:" Rine...je...Je t'aime...Malgré tout...Peut être que tu ne me comprends pas...pourquoi j'ai fait ceci...ou ai je fait cela...Pourquoi je dis ca...Disons que pour une fois...je laisse mon coeur parler...au lieu de ma tête...Je t'aime...Ma Satan..............................................."

Lloyd tapa dans la porte qui s'ouvrit en grand. Il était a moitié habillé avec une serviette sur le dos. Il regarda autour de lui ,et vit...
Deux personnes dont l'un d'eux étaient ensanglanté...

*Putin mais qu'est-ce qui se passe ici ?!*

Il accourut vers les deux personnes.

«Mais qu'est-ce qu'il a fait lui ?! Putin mais dans quel merde tu viens de te foutre toi ! Tu veux crever ou quoi !?
Au risque de paraitre impoli , je ferais les présentations plus tard !
Faut l'emmener pour le soigner !!

En attendant une quelconque réaction il tendit la serviette au gars bléssé.

[Hj : Ahaha...C'est marrant , les trois anciens de Rival Fantasy...]

*Vite vite vite !!*

Il prit le gars par la taille et le souleva tant bien que mal.

Je sais que c'est peut-être dur de faire quoi que ce soit en ce moment mais s'il te plait , aide moi !

Il commenca a faire quelques pas vers la porte en portant le bléssé aidé par se qu'il croyait être la copine du gars...Ca devenait même sur , vu les larmes qu'elle versait , ils devaiet surement être proche.

Il forcait tant bien que mal pour tenir le gars , il était assez lourd.
Il remit un coup de pied dans la porte , qui se rouvrit , il passa dans le couloir avec le bléssé.

Vite , a l'infirmerie !

(mdr le clan de RF...ca fait longtemps...)

Mes pensés ne collaient plus avec moi...Je fermais et réouvrais les yeux avec difficulté...Mon corps bougeait de droite à gauche...sans que je ne comprenne pourquoi...J'ai du être absence un petit moment...surement...Je voyais le carelage...blanc...mais avec des traces de pourpre...le sang avec réussit à prendre place dans mon oeil...on ne voyait plus le blanc pur...mais le raouge bordeaux violent...J'apperçu par la suite...Rine...puis un homme....il devait me porté je crois...Ma vue se trouble encore plus...j'entend de plus en plus de bruit...de voix...de cris...Je ne comprend pas...Une musique passe dans ma tête...une musique douce...qui me donne envie de dormir...Mon corps bascule dans tous les sens...

Q:"Et....Et merde........................."

A ce moment je voyais un peu de mon passé revenir...a ma soeur...elle...qui n'a jamais réussit a faire ce que j'ai fait...Je voyais le monde devenir flou...puis se foncé...de plus en plus...jusqu'à....devenir...

Q:" Noir........................"

Rine avançait comme un automate, sans réfléchir, soutenant Lucifer autant qu’elle le pouvait. Ou était ce l’infirmerie déjà ? Elle ne se souvenait plus et ne faisait que suivre le pas de l’inconnu… Ses larmes avaient finit par cesser de couler sans cesse, un espoir futile venait de naître en son cœur et elle contait bien el conserver aussi longtemps qu’elle le pourrait, c’était à peu près la seule chose sur laquelle elle pouvais s’appuyer pour ne pas sombrer à nouveaux dans des sanglots sans fin… Pleurer, elle ne l’avait pas fait depuis si longtemps si bien que la nipponne avait cru ne plus jamais en être capable et voilà que tout cela n’avait été que fumée et que banales impression non fondée, la preuve était là, les larmes avaient coulées…

* Vite ! Faut qu’on se dépêche… il y a encore une chance j’en suis sûre…*

Elle entendit les paroles incohérentes que Quentin prononça mais la jeune femme les ignora superbement, elle avait l’habitude de se conduire de la sorte après tout et tout en elle se refusait à se rendre à ce qui semblait être une évidence. Non, elle se battrait jusqu’au bout, cela avait toujours été dans sa nature, et si le monde considérait cela comme une bêtise , au yeux de Suki, il fallait toujours aller jusqu’au bout de ses erreurs, qu’importait les conséquences..

L’autre jeune pris alors la parole, et en temps normal, Rine lui aurait balancé une remarque bien sentie juste pour le plaisir… qu’est ce qu’il croyait ? Lorsqu’on désirait mourir, on ne pensait à faire ça à tel endroit pour aider les autres à empêcher votre souhait de se réaliser ! Si c’était de l’humour c’était plus que stupide et mal placée, mais elle n’avait pas le temps de penser à cela, pas assez de temps pour les enfantillages de cette sorte il y avait plus important encore… Son gars ? Décidément, il accumulait les bourdes celui-là, ou peut-être simplement que la jeune femme avait besoin d’un coupable à ce qui la faisait souffrir. Rine ne desserrait pas les dents et répondit a voix basse :

« Il s’appelle Quentin. »

La porte de l’infirmerie ne se trouvait plus qu’à quelque pas et la jeune japonaise espérait avoir coupé court à la conversations,elle n’était pas d’humeur à discuter avec un inconnu,déjà que le fait qu’il l’ait vu dans cet état la dérangeait… XD

_ Hj_ Topic Libéré suite à l'infirmerie _HJ_