Phil Ylywans

Invité

Nom : Ylywans
Prénom : Phil (Philypp)

Poste : élève

Age : 15/16 ans
Date de naissance : 19 octobre

Origines : américaines
Famille : il est orphelin, et a aussi perdu sa soeur jumelle, Fylliam

Histoire :

Phil regarda sa soeur... Et, encore une fois, elle lui sembla si fragile... Mais tellement sure et calme, et même temps... Fylliam...

Les médecins avait laissé entrer dans l’ambullance ce jeune homme, à l’air perdu, en voyant sa ressamblance frapante avec la jeune fille qu’ils avaient récupéré dans la rue. Il l’avait trouvée, extrement malade, inconsciente dans la rue... Tout les médecins, appelés dans l’urgence, savait bien que son cas était désespéré. Mais ils continuaient de s’activer, au moins jusqu’à ce qu’ils arrivent à l’hospital...

Phil regardait les grands yeux de sa soeur, si identiques aux siens, lorsqu’ils était ouverts. Le jeune homme s’empechait de penser que, jamais, ils ne se rouvriraient... Il eut peur, d’un seul coup. Une peur immense qui s’emparrait de lui trop rapidement. Il ferma les yeux, et se mit à se rappeler... Des tas de souvenirs, qu’il pensait, et voulait, avoir oubliés.

Il se revit, petit (il devait avoir huit ans au grand maximum) avec ses deux parents, près du grand lac, en bas du champs. Il entendit sa mère rire, et son père qui les appelait pour manger. Il y avait sa jumelle, aussi... Puis, le soir arrivait. Leurs parents devaient aller faires des courses. Ils avaient pris la voiture, en leurs disant qu’ils seraient de retour dans deux heures, au maximum. Mais ils ne sont jamais revenus...
Les jumeaux avaient attendus, toute la nuit, ensemble, effrayés. Pourquoi donc leurs parents ne revenaient-ils pas ? Phil avait voulut proteger sa soeur, et lui avait répeter qu’elle pouvait dormir, qu’il attendrait, que leurs parents reviendraient... Mais elle avait voulut rester, et il lui en avait été reconnaissant, sans le lui dire. Il n’aurait pas voulut attendre seul des parents qui n’arriveraient jamais...
Au matin, la porte s’ouvrit enfin, mais se fut une dame, qu’ils ne connaissaient pas, qui entra. Phil ne se souvenait plus se qu’elle avait dit, pour se présenter, mais elle allait s’occuper d’eux. Elle les emenna tout d’abord à l’hospital. En y repensant, Phil aurait voulut qu’elle s’abstienne. Mais en même temps, il n’aurais jamais cru la mort de ses parents, sinon.

Tout d’un coup, il se revit dans l’hospital, devant la chambre de leurs parents. Morts. A cette pensée, il rouvrit les yeux. Sa peur était toujours présente. De plus, cette fois, c’était Fylliam qu’on ammenait en urgence. Il regarda sa soeur, encore une fois. Comme les médecins s’activaient autour d’elle, il ne pouvait pas l’aprocher, ni lui prendre la main. Il se contenta alors de regarder son visage, et s’acrocha à son sourire... Il illuminait son visage. Elle avait toujours eu ce sourire, naturellement, et elle le « distribuait » tout aussi naturellement, tout autour d’elle. Combien de fois lui avait-elle dit « ca va ! » avec ce sourire ?

En esseyant de contenir la colère qu’il ressentait envers lui même, Phil repensa à cette jeune fille si bizarre, qu’ils avaient recontrés tout les deux. Ils étaient inquiets. Ils attendaient, dans une salle prévue à cette effet, qu’on vienne les chercher. Cela ce passait environ une semaine ou deux, après l’accident de leurs parents. Il jouait avec un briquet (il ne se rappelait plus où il l’avait trouvé) quand elle était aparue. Elle regardait l’objet avec beaucoup d’attention, alors Fylliam le lui avait donné. Elle avait remercié, mais n’avait pas sourit, comme si elle ne savait pas comment faire. Puis elle s’était enfuit. Phil avait regardé sa jumelle, et avait remarqué qu’elle souriait. Comment faisait-elle ? Elle était pourtant si inquiète... Lui, il n’aurait pas put...

Phil, dans l’ambulance, se pencha vers sa soeur, en souriant à son tour. Grace à elle, il avait surmonter la mort de leurs parents, l’adaptation à une nouvelle vie. Et jamais il ne la remercirait assez pour cela. Surtout qu’il avait l’impression de n’avoir rien fait pour elle...

Après la mort de leurs parents, on les avaient placés dans une famille d’accueil. Malheureusement, leurs tuteurs n’étaient pas les meilleurs qui soient, et, sans vraiment les exploiter, ils faisaient faire aux jumeaux toutes sortes de taches ménagères. Jamais leurs « parents » adoptifs ne leurs ont témoignés un réel amour, soutient dont les deux enfants avaient besoin. Il avaient changé de ville, d’école, de style de vie, avaient dut très rapidement s’adapter. Fylliam souriait, pour son frère, Phil s’en rappelait, mais lui, il préfèrait ne rien dire. Il voulait juste pouvoir protéger sa soeur.
Les jumeaux voyaient au moins un avantage à tous ces changements. Dans leur nouveau quatier, ou dans leur école, personne ne connaissait leur histoire. Personne ne savait qu’ils avaient perdu leurs parents... Ils furent bien acceuillis par leur camarades. Fylliam était souriante et, même si son frère était beaucoup plus fermé, on les trouvait «sympas ».
Ce fut environ deux ans plus tard qu’une nouvelle fille arriva. Les jumeaux étaient entrés au collège, dans des classes différentes. Phil s’était d’abord révolté de ne pas être dans la même classe que sa soeur, mais s’y était petit à petit fait... Ils se racontait leurs journées, et c’est comme cela que Fylliam appris qu’une nouvelle était arrivée dans la classe de son frère, en cours d’année. Sans que Phil comprenne pourquoi, sa soeur était touchée de savoir que la jeune fille reste seule, ne parle pas. Un soir, à la fin des cours, elle alla lui dire bonjour.

*A ce moment aussi, Fylliam souriait... * pensa Phil, en regardant toujours sa soeur.
La jeune fille, Ollyvya, était restée avec eux. A cette même époque, Phil ne se rappelait plus trop comment et quand, les jumeaux avaient aussi retrouvé Ezery, qui était la petite fille de l’hospital. Ces deux jeunes filles ne se connaissaient pas, mais elles retrouvaient Phil et sa soeur, de temps en temps, le soir. Elles gardaient en elles des secrets, comme nous, se dit Phil.

Phil sortit soudain de sa reverie. La suite de l’histoire, il ne l’aimait pas. Il avait eu peur, et comme un lache, il avait laissé sa soeur, lentement, deperir... Un lache ! Il aurait dû la protéger ! En voyant que sa soeur tombait malade, il n’avait pas su quoi faire. Il avait préfèré se cacher dans sa violence. Il avait rejoint des gangs. Detestable. C’était ce qu’il était. Fylliam le suivait, en lui disant que, si, elle allait bien... Au bout d’un certain moment, il n’avait plus posé la question, conaissant la réponse. En fait, il essayait de se cacher de sa soeur, parce qu’il ne voulait plus voir qu’elle était malade, il ne voulait pas...il ne voulait pas...
-« C’est de ma faute... c’est de ma faute... » murmurait-il...
Il ne relevait plus la tête. Soudain, il se rendit compte du silence qui règnait dans l’ambullance. Et le bruit de cette machine, ininterromput. Les yeux vitreux, il osa regarder. Il s’était relevé. Il passa la main sur le front de sa soeur, en murmurant son nom, doucement.

Il sortit brusquement de l’ambullance, et courut. Il pleuvait. Il ne voulait pas s’arreter de courir, il ne voulait pas qu’il s’arrete de pleuvoir. Sa faute. C’était sa faute.
Soudain, il eurta quelqu’un, mais ne le vit même pas. Le gars qu’il avait bousculé l’empoigna.
-« Dégage de là ! » dit-il à Phil.
Celui-ci releva la tête, pour le regarder dans les yeux. Toute sa tristesse se transphorma alors en colère. Il ne répondit rien, mais ne bougea pas, et se contenta de continuer à le fixer. Lentement, il articula :
-« Lache...moi !... »
Mais le jeune homme commença à le fapper. Phil ne s’y attendait pas, mais répondit. Il avait apprit à se battre, savait se défendre et attaquer. Il frappait comme il pouvait, évacuant sa colère dans ses coups. Heureusement, la police arriva, et séparra les deux jeunes hommes. Ils furent conduits au poste.
Assis dans la salle d’attente, Phil repensa soudainement à sa soeur. Il avait réussi à l’oublier, mais maintenant, son souvenir le hantait. Pourquoi n’était-il pas rester dans l’ambulance ?
-« C’est de ma faute... » se remit-il à répeter.
- « Et alors ? Ce n’est pas en remuant le passé qu’on avance. »
Phil tourna la tête vers lui, le regard perdu. A ce moment, les policiers refurent leur apparition. On leur expliqua qu’ils allait être envoyés dans un « pensionnat pour délinquants ». Phil n’y fit pas vraiment attention. Et quelques jours plus tard, accompagné de l’autre jeune homme, il arriva à Rose red.

Apparence physique : Le regard gris, maintenant perdu... Il a les cheveux noirs, plutôt longs, et n’est pas très grand, pour son âge.

Caractère : Il n’accepte plus que l’on lui parle de sa soeur. Il se sent coupable de sa maladie, et ne veut pas croire à sa mort... Il s’est enfermé dans ses pensées, et ne veux pas en sortir... Et il a oublié comment rire.

Qualités : Il reste calme, face à la provocation. Comme si plus rien ne le touchait.
Défauts : Il ne veux plus faire face à la réalité.

Passions : //
Talents : //

Signes particuliers : Phil est l’exacte réplique de sa soeur jumelle, au masculin ...à moins que ça ne soit l’inverse.

Fausse Muette Nombre de messages : 904 Date d'inscription : 19/05/2005

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Amuse toi bien dans ce pensionnat

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Et désolé pour le retard

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