Prend l'air

( Mouais... disons que j'ai vu plus gentil comme demande... mais bon... ca m'apprendra à avoir une vie en dehors du forum... )

-Y aller? T'es drôle toi? Tu penses sérieusement que je vais te laisser comme ça au beau millieu de la nuit?

Francis se coucha sur le toit, une jambe à moitié replié, l'autre toujours pendante dans le vide. Un sentiment de liberté s'emparrait de lui, un sentiment qu'il n'avait pas éprouvé depuis qu'il était entré dans ce pensionnat. Depuis qu'il était entré, sa vie avait été bien rempli, cependant, elle avait été rempli entre quatre mur... Et non dans des bars, des discothèques, dans la maison d'un ami... Bref, ailleur que toujours au même endroit, avec toujours des personnes nouvelles. Sa mémoire commençait lentement à s'activer, comme à toutes les fois qu'il se détendait complettement. Il se rapellait le jour ou il avait fait ce choix, le choix d'une vie comme celle-ci. Comment une telle chose, si horrible soit-elle, avait réussi à trouver son chemin dans l'histoire d'une personne comme lui? À peinne cinq ans qu'il avait lorsque tout c'est passé. Ô! Ce n'est pas la duré qui le tracassait, lorsqu'il avait rententé quelques années plus tard, à toutes les fois, ça ne dépassait guèrre les dix minutes, mais cette fois-là, c'était à peinne trente secondes. Ses parents venaient de lui interdit de commencer à fumer, qui l'aurait permit à un enfant de cinq ans? Sur la rage de ne pas pouvoir devenir le plus cool de l'école, grâce au fait qu'il serait le premier à fumer, il s'était jetté sur le couteau de boucher que son père utilisait pour couper la viande et lui avait directement lancé le couteau, pointe en avant, dessus. Heureusement pour tout les deux, autant pour son père qui serait mort que pour Francis qui aurait fait de la prison, il n'était pas encore assé expérimenté afin de bien viser d'une telle manière. Depuis, ses parents le renaient et sa soeur n'avait compris que très tard ce qu'était cette histoire et lui avait rapidement pardonné. Ensuite il pensait à sa soeur, sa longue chevelure blonde, ses yeux bleu... À ça on se demandait presque si sa mère n'avait pas trompé son père puisqu'elle était la seul blonde de toute la famille, mais qu'importe, elle était, dans son coeur, sa soeur et il l'aimait ainsi. Ensuite, on pensait à ses fines courbes de son corps, peut-être trop fines au goût de Francis qui détestait voir les autres garçons du gang la regardé comme si elle était un morceau de chair ambulant, mais un respect s'était installé lorsqu'ils avaient appris, jusque là secret, qu'elle était sa soeur. Qui l'aurait pensé, Francis sombre, délinquant, cruelle et aimant la tortur et elle, belle, douce, d'une bonté exceptionnelle et qu'on avait l'impression, autant que Francis un orage le suivant, elle un rayon de soleil l'entourant. Sa bonté étant si grande, elle pardonnait toujours à tout les membres du gangs. Avec le temps, elle avait appris ce qu'était la cruauté et tout, mais n'avait jamais voulu y recourir pour assouvrir sa vengeance, elle ne gardait aucune rencunte. La dernière fois qu'il l'avait vu, elle lui avait promise de tout faire pour le rejoindre dans cet endroit, il espérait maintenant autant qu'elle accomplisse sa promesse, elle lui manquait tant, mais autant qu'il lui souhaitait de ne jamais connaitre cet endroit. À première vue, si on s'entendait bien avec les autres, il parraissait sympatique et même comme étant un endroit de bonheur, mais rapidement, lorsqu'on prenait ne serait-ce qu'un instant pour y réfléchir, on se rendait compte qu'on n'avait pas vécu sa vie à son maximum et s'ennuyait rapidement d'une petite soirée de fête, autant mauvaise que bonne. Sur ce, sa tête se tourna vers son poste dans cette école, gérant de la salle des fêtes, il pourrait peut-être faire quelques chose pour cela, mais il lui restait tant de chose à faire pour bien organiser une telle chose ; Connaître plus de personnes, savoir leur goût, leur passion et surtout, comment s'attendent-ils à ce que finisse la fête. S'attendent-ils à ce que tous dorment paisiblement et seul ou bien... s'attendent-ils de ne pas dormir parce qu'il y aurait trop d'action... ou encore, s'attendent-ils tous à une belle soirée qui finirait à onze heure et ou on aurait dansé plein de "slo" toutes la soirée. Ou peut-être la même chose, mais sans les "slo", donc une soirée avec de la bonne musique, point final, pas d'après fête, ça se voit souvent alors, pourquoi ne voudraient-ils pas une chose comme ça?

-Si il y avait une fête à l'école, une très très grosse fête ou tout les élèves de l'école y seraient, comment voudrais-tu qu'elle soit?

La lune brilla de ses milles feu, illuminant le toit et ses environs, mais aussi la brillance des astres stéllaires. Brillant de leur plus grande beauté de toute la nuit jusqu'ici sombre et froide, son coeur sembla se réchauffer enfin et trouver un endroit bien, ce qu'il cherchait depuis maintenant près de cinq minutes. Il réfléchissait réellement trop, Dawn ne devait pas réellement aimer ça, mais c'était lui et personne ne pouvait le changer, plusieurs avaient essayé, la plupart avait fini bien amoché ou terrorrisé par des menaces. D'autres encore avaient subi le supplice du taxage ou de l'humiliation au beau millieu de la cour de récréation, quand le maximum de personnes y étaient. Tant de choses s'étaient passé dans sa vie, tant de moments marquant qui semblaient tous aussi décisif que de tuer quelqu'un pour entrer dans cet endroit maudit. Et si c'était comme ça que Marylin pensait entrer dans ce pensionnat, cette idée le terrorrisa. Il savait très bien que les meutriers étaient reffusé même dans cet "établissement" pour déliquant. Il se défit rapidement de cette idée, jamais elle ne serait capable de le faire... Mais elle serait capable de demander à quelqu'un de le faire pour elle et de le faire passer sur son dos. *Non, non, elle ne fera pas ça.* Son esprit se remit sur les astres stéllaires, les étoiles, elles brillaient, elles étaient magnifiques, comme la fille à ses côtés, innocentes, douce, encore tant de chose à vivre, mais avec une âme morte, cependant réssucitable. Seul une lueur d'espoir existait, mais aujourd'hui, il avait réussi à faire allumer la petite étincelle dans son coeur et il souhaitait de tout le sien qu'elle tienne le coup encore longtemps, assé longtemps pour le partir bien comme il le faut et faire un feu bien solide qui réchaufferait comme il le faut cet âme plus froid que l'hiver de pluton.

( C'est assé long comme ça? ... )