Au bort de l'eau...

Lylya marcha jusq'au lac accompagnée de Stephane.
Elle n'avait aucune idée de l'haure qu'il était...la lueur du soleil éclairé faiblement une partie du lac totalement desert.
La jeune asiatique se dirigea au bort de l'eau, beigné par un rayon de soleil.
Elle s'étendit sur l'herbes brouisailleuse et observa le ciel d'un aire distrait.
La solitude lui fesait peur mais elle ne comprenanit pas vraiement dans quel but Stephane avait accépté de rester avec elle.
Elle ne chercha pas à comprendre et attendit.
Lylya se releva légérement et posa son regard distant sur la surface lice et plate du lac sombre.
Un leger frisson la parcourue et elle se retourna evrs Stephane.
Elle n'avait pas son habituelle sourir au lévres, dailleure, elle n'avait pas envie de rigoler.

" Sa tombe bien....y'a personne....."

Elle croisa les bras en regardant les environs.
En effet ici, c'était totalement isolée.
Lylya ne savait vraiment pas quoi faire et elle était certaine que rester ici, les bras croisé, n'allait pas convenir à quelqu'un comme Stephane.
Dailleure, elle n'avait aucune idée de ce qu'il avait envie de faire ou ne pas faire.
La seule chose que Lylya savait était que Stephane était gentil avec elle.
Ca lui sufisait largement...
Toujours perdue dans ses penssées, une brusque douleure lui parcourue le ventre.
Un éspéce de vertige s'emparra d'elle.
Elle posa ses mains sur son front et fit du mieu qu'elle pue pour respirer normalement.
Lylya ne devait rien montrer, faire comme si de rien était....
Il n'y avait personne, c'était désert...la seule personne qui pouvait la génée était Stephane.
Alors, elle ne devait rien montrer....faire comme si rien ne se pâssait.
Elle posa ses prunelle noisette sur lui et lui accorda un regard étrange....
Le vent se leva et parcourut la surface du lac...

( topic résérvé )

(désolé, pour cette fois, pas 'dinspi...)

Stéphane suivit la jeune fille d'un pas nonchalant, ne s'amusant pas vraiment, mais ne s'ennuyant pas non plus.
Puis, lorsqu'il la vit s'allonger par terre, il s'assit près d'elle, regardant le lac sombre.
L'endroit était vraiment désert. Il ne savait pas tellement que dire ni que faire, comme d'habitude, et restait là, silencieux; peut-être avat-il l'air stupide ainsi... Mais il s'en fichait pas mal, en fin de compte.

Il reporta son regard du lac sur Lylya. Elle restait silencieuse, aussi, à contempler l'eau.
Puis quelque chose d'étrange lui arriva - il ne savait pas trop quoi au juste, seulement qu'elle semblait avoir mal.
Et lorsqu'elle le regarda aussi, il lui demande:

"Dis, ca va?"

T'es sûre que ca va?" redemanda-t-il; puis se ravisant: "bon. Comme tu veux."
Il découvrirait bien ce qu'elle avait si c'était intérressant ou utile à savoir. Et il n'avait pas envie de la forcer à parler.

Après tout, lui aussi, il avait un secret désagréable à cacher.

Et il tenait à le garder secret...



Chassant ses souvenirs noirs, tentant d'oublier un peu le monstre qui rôdait en lui, Stéphane se mit à regarder le lac.
Il n'y avait pas grand-chose à voir. Il connaissait bien l'endroit pour y être allé souvent.
Et il ne savait pas vraiment que faire, ni que dire... encore une fois. Tant pis.

[Désolé, pas d'idées >_<]

Stéphane ne réagit pas lorsqu'elle posa sa tête sur ses genoux. Lylya était un peu envahissante, mais cela ne le dérangeait pas tellement.
Et puis, dès qu'elle s'en aperçevait, elle se reprenait et s'écartait aussitôt. C'était, en fin de compte, plutôt amusant.

Puis, elle affirma quelque chose qui le fit sourire:
"Tu sais lire dans ma main? Je te crois pas une seconde mais je veux bien essayer" répondit-il, tentant de cacher son amusement, "après tout, peut-être me prédiras-tu bonheur dans ma vie conjugale, joie et santé, non?" la taquina-t-il.

Il lui tendit ses mains.

"Et t'inquiètes pas, j'te prends pas pour une sorcière!" Il sourit. Si elle était sorcière, lui était démon, alors...

A sa réponse, Stéphane partit d'un grand rire:

"Alors, tu peux lire dans les mains des gens ou non? Tu sais, si tu sais pas faire quelque chose, faut pas se vanter du contraire: tu passes pour une conne après! Et c'est mérité!"

Il était railleur et blessant mais c'était sans vraiment le vouloir. Il disait ce qu'il pensait, avec le peu de tact qui caractérisent ceux qui n'ont jamais parlés à d'autres durant leur existence, et qui se réveillent soudainement.

"Et puis, ca t'apprendras à donner un caractère lugubre à toute la scène avant de donner la réponse!" se moqua-t-il avec malice.

"Bon, mon tour de jouer" annonca-t-il, soudainement - puis il prit un air faussement grave et concentré; "alors, ton passé... tu as fait plein de bêtises, peut-être parce que tu étais bête... et du coup on t'as ramené ici! Ton futur: euhm, tout va s'arranger, plus ou moins rapidement, et tu sortiras d'ici..." Puis il prit une voix d'outre-tombe et lanca un regard faussement halluciné: "après le reste est obscur... ton futur m'est caché ... une grande force maléfique contrôle mes pouvoirs... je ne vois pas... il est là! Le Grand Méchant Loup! Aaaaah!"

Il se roula soudainement par terre, en hurlant, mimant le mystique qui perds ses pouvoirs de prescience dans la révélation douloureuse d'un futur obscur mais abominable.
La scène était ridicule; il mimait tout les illuminés qu'il ait pu rencontrer et qui, connaissant vaguement sa réputation, lui faisaient des scènes du genre, dans le vain espoir de l'impressionner. (Lui avait l'habitude d'ârreter d'un pied le maniaque se roulant par terre, de lui répondre "je sais" d'un grand sourire sadique, et de faire en sorte qu'il ne se relevait pas jusqu'au lendemain.)

Il s'arrêta, et se releva soudainement, mort de rire. Mais lui faisant un grand sourire, sincère.
Il s'était -cruellement ?- moqué de Lylya; mais elle avait eu le mérite de le délivrer pendant un moment de son état taciturne habituel, et de le faire rire, sans amertume, pour une fois. Il se libérait lentement de ses remords et ses regrets, et se mettait -lentement- à revivre...

[Waaah j'suis inspiré pour une fois! ^^]

Lylya observa Stephane se rouler par terre le sourir aux lévres.
Il se moquait d'elle, mais ça, elle s'en fichait. La seule chose qu'elle voyait c'était qu'il riait.
Quand il eu finit sa "crise" de délire, elle ne pue se retenir de le serrer dans ses bras.
Elle resta comme ça quelques secondes et le relacha, pour une fois, s'en resentire la moindre géne.
C'était passager, l'envis de l'ensserer c'était volatilisé aussi subitement que le fou rire de Staphane.
Elle finit par lui répondre d'une vois moqueuse elle aussi :

" T' imite plutôt bien le voyant fou ayant des hallus, faux le reconnaitre, t'a un certain don !!! J'en arrive presque à étre jalouse de tes capacitées de visions en remarquant à quel point elle son précises. Mais, cependant, t'a encor quelques petits truc à apprendre avant de dépasser la force de Merlin l'enchanteur. C'est pas moi qui pourrait te l'apprenrde, parceque, comme tu me la fait si joliment remarquer je passe pour une conne qui ne sais pas lire dans les lignes de la main...Mais bon, la nature d'un discour dépend surtout de celui qui l'écoute..et le comprend !!!"

Elle lui rendit son sourir moqueur, mais qui n'était pas méchant.
Finalement, elle ésséyait de se pérsuader qu'elle n'était qu'une pauvre pomée qui ne savait pas lire dans les mains, et que ce qu'elle avait crue apercevoir chez Stephane était surement une idée de son imagination débordante d'apsurditée.
Mais, elle savait qu'elle avait raison, pourtant ele ne voulait pas contredir Stephane, elle préférait le laisser croire qu'il avait raison, c'était mieu ainsi.
Elle continuait de l'observer le sourir aux lévres, se demandant si ça lui arriver souvent de se taper ce genre de délire avec tout le monde ou si ce n'était qu'avec elle.
Puis elle finit par lui dre d'un ton moins amusé :

" Mon futur c'est que je sortiraios plutôt rapidement d'ici ? Merci Merlin pour ces gentilles prédictions !!! Mais parcontre, je ne suis pas arriver ici à cause de MES bétises...alors, tu n'es pas un vrai magicien...!!"

Elle lui fit un sourir nargeur et soupira légérement avant de s'alonger dans l'herbe.

[ en effet, t'a été inspiré ]

"Que veux-tu, je n'ai pas eu d'entraînement intensif auprès des sorcières moi!" railla-t-il, avant d'ajouter "et puis mon troisième oeil est fatigué en ce moment... tout s'est voilé et il est dur d'avoir quelque chose de correct!"

Il ne réagit pas à son calin et s'allongea dans l'herbe.
C'était étrange ... c'était bien la première fois dans son existence qu'il avait ri comme ca, qu'il avait fait le crétin sans arrière-pensée. Peut-être s'ouvrait-il un peu plus aux autres, ou alors ne considérait-il que Lylya n'était absolument pas dangereuse.
Mais il n'avait pas l'habitude d'agir ainsi, et il s'était surpris lui-même.
Peut-être était-ce cela la vie sans démon intérieur... mais alors ce n'était pas voué à continuer. il n'arriverait jamais à l'exorciser, puisque le Démon, c'était lui.

Il laissa tomber l'idée de comprendre, et, se tournant vers elle, répondit d'un ton curieux à la seconde remarque:

"T'es ici à cause des autres? c'est à dire?" Stéphane comrpenait mal. "Si ce n'est pas toi qu'est une-criminelle-psychopathe-en-puissance-mangeuse-de-petits-enfants, pourquoi t'es là?"

Lylya observa Stephane le sourir aux lévres.
Elle devait avoir l'aire stupide alongée dans l'herbe, habillée à moitié en train de dire des conneries.
Mais aprés tout, elle s'en fichait pas mal.
Elle s'acouda légérement et observa Stephane en fesant mine de chercher son troisiéme oeil.

"En effet, il est pas bien grand ton troisiéme oeil ou alors il est trés bien caché ! Mais si il est fatigué tu n'as qu'à le faire dormir un peu..."

Elle lui fit un sourir ironique.
C'était plutôt surprenant de la voir si naturelle, elle se posait elle méme des questions sur son état.
Puis, Stephane lui posa la question aussi redoutée que génante.
Mais, il l'avait prononcé en riglant, ça détendait un peu l'hatmosphére.
Lylya lui fit n sourir apuyé et lui répondit d'une vois qu'elle voulait complétement indiférente et enfantine :

" Non je ne suis pas une "criminelle-psychopathe-en-puissance-mangeuse-de-petits-enfants"...Ne prend pas ton cas pour des généralitées !"

Elle lui fit un sourir moqueur.
En s'aprecevant qu'elle n'avait fait que détourner la question, elle resta muette un instant et prit la parole avant que le slence ne prenne trop d'ampleur :

" Ca parait surpenant mais je n'ais rien fait de mal....personne n'a voulu me croire...méme pas la police !! Moi qui penssait qu'elle aurait pue m'aider, je me suis jettée dans la geule du loup en allant la voir."

"Héhéhé eh oui je mange les enfants!" rigola-t-il.
A moitié peut-être. Après tout il était criminel et psychopathe en puissance. Et s'il n'était pas cannibale, il prenait plaisir à tabasser les mômes.

Il reprit, plus sérieux: "Mais si t'as rien fait, pourquoi on t'as balancé ici?"
Stéphane s'interrogeait de plus en plus. Qu'est-ce qu'elle foutait ici? Pourquoi n'était-elle pas encore partie, sachant qu'ici ce n'était pas une prison à proprement parler, puisqu'on relachait les gens lorsqu'ils "allaient mieux"?

Stéphane s'allongea totalement sur le sol et regarda le ciel.

[Désolé, message court!]

(pas rave pr ton topic, le mien aussi est petit^^)

Lylya perdit vaguement son sourir quand elle s'aperçue que Stephane inssistait.
Elle ne voulait pas perdre la face donc elle gardait le sourir.
Mais pourquoi voulait-il savoirça ? C'était parecequ'il s'y intéréssait vraiment ou pour se foutre d'elle.
Lylya avait un peu honte de parler de ce qui lui était arriver.
Elle resta muette un moment...perdue dans ses penssées et ses souvenirs refesant surface.
Avec un peu d'hapréhenssion elle prit la parole d'un ton lointain et abscent:

" J'ai était violée..."

Elle resta silencieuse. Aucune expression ne se lisait sur son visage.
Elle était caché derriére une façade.
Lylya avait le regard rivé sur le ciel qui commençait à s'assombrir.
Elle n'avait jamais parler à personnes. Et encor moin de ça.
Elle savait que Stephane allait la juger...ou peu étre méme se mettre à rire.
Lylya avait honte. Elle posa une main sur son vente epérant qu'il ne fasse pas le raprochement...

[Désolé du temps mis à répondre!]

Stéphane ne savait pas quoi dire en réponse -ni même comment réagir- et ne dit rien. Il resta silencieux.
Il n'était pas le seul hanté par ses démons ici, il en était conscient, mais cela ne l'empêchait pas d'être totalement démuni face à ce genre de situations. Il avait passé sa vie à tabasser les gens, pas à les écouter, après tout.

Un temps.

"Il va pleuvoir, bientôt, je pense." fit-il, toujours allongé sur le sol, le regard vers le ciel. Il ne riait plus, il n'essayait même pas. Foutue vie!

Stéphane se rassit. "Alors on fait quoi?" demanda-t-il, souriant plus ou moins; "on reste ici jusqu'à ce qu'il pleuve, ou on reste sous la pluie, ou on rentre?"
S'il ne pouvait faire quelque chose face à ce problème, tant pis... après tout, il n'était pas son ange gardien, et n'avait pas envie de rester face à cela, incapable de réagir.

Il en était de même pour le sous directeur, lui aussi n’avait pas oublier ce si doux baiser, bien qu’il fut, pour son plus grand malheur, de courte durée. Trop courte a son goût, s’il avait pu, si elle n’avait pas été une élève, il se serait bien gardé de retiré aussi rapidement ses lèvres de celle de la rousse a la peau aussi douce que la soie. Comme la plupart du temps, Ryan était installer dans son bureau, assis sur sa chaise, les jambes croisé et soigneusement déposer sur son bureau, en gros, il prenait ses aises. Bien que ce soit de petits délinquants, il avait pas mal de temps libre, tout du moins, plus qu’il ne l’aurait cru. Depuis qu’il était arrivé ici, il avait rencontré quelques professeurs, un psy. Il avait également fait la rencontre de certains élèves tel que Quentin, Rine ou encore … Lyria. Rhaa, il fallait qu’il se la sorte de sa tête ! Ce n’était qu’une gamine après tout … Une pensionne, juste une pensionnaire banale comme toutes les autres, avec la beauté, la chaleur, la douceur en plus et bien d’autre qualité …

Non décidément, le visage de la jeune fille rester fraîchement ancrée dans sa mémoire, et elle ne semblait plus vouloir s’effacer, une bonne ou une mauvaise chose ? Il n’en avait absolument aucune idée. Il soupira alors doucement, ce laissant bercer par ses pensées les plus douces : le baiser. Conscient de ce a quoi il pensée, il se redressa soudainement et prit sa tête entre ses mains, la secouant ni trop doucement ni trop fortement. Un nouveau soupire, merde ! Qu’elle sorte de sa tête cette foutu gamine ! Oui ce n’était qu’une gamine, il n’en avait rien a faire d’elle … Ce baiser n’avait rien signifié, rien du tout … Juste un accès de folie … Quel piètre menteur … C’était tout le contraire … Le baiser n’avait pas eut lieu pour rien, il en avait eut envie … Oh que oui et il le savait que trop bien …

« Merde … Sors de ma tête … »

Finalement, histoire de ce changer les idées, il décida d’aller faire un petit tour hors du pensionnat, voulant en même temps admiré la jolie vue. Avec un peu de chance, il aurait vu sur la chambre de Lyria, enfin non … Il voulait dire vu sur le lac bien sur, ou peut-être le jardin, il ne savait pas encore où il allait aller … Comme toujours, il prit son fidèle ami qui était son paquet de cigarette et bien entendu son briquet, qu’il fourra tout deux dans sa poche … A peine sortie de son bureau, qu’il en sortie une pour la coincée entre ses lèvres et l’allumer. Il commença alors à la fumer tranquillement, se dirigeant sans même le savoir, vers la jeune fille, vers le lac, là où elle était … en petite tenue. Alors qu’il approchait d’un pas lent du lac, il aperçut une silhouette allongé a terre. Une élève, tiens, il allait aller l’embêter, au moins ça lui ferait sortir la demoiselle de la tête. Pas de bol, lorsqu’il fut assez proche, son cœur loupa comme un battement, la fille n’était autre que Lyria, la jolie rousse, qui avait pour seul vêtement … Un petit bikini. Discrètement il resta alors là immobile, la regardant tout en se mordant la lèvre inférieure. Se ressaisissant, il ce décida a bouger, jetant alors sa cigarette a peine entamé, allant s’asseoir silencieusement aux côtés de la jeune femme. Il n’osé même pas la regarder, son regard était fixé sur le lac, comme s’il avait peur de la brûlé avec son regard, de lui faire du mal …

Lyria, Lyria, Lyria, seul ce doux nom raisonné dans sa tête. Il ne faisait pensée qu’à elle, il devait s’occupé l’esprit, ses mains, tout, il devait faire quelques choses d’assez difficile pour enfin cesser de pensée a elle, tout au moins pour un petit moment. Un bon directeur ? Tu parles … Il était en train de pensée a une de ses pensionnaires, oh non pas qu’il se souciait de ses problèmes, a sa connaissance, elle n’en avait pas pour le moment. Il pensait a elle d’une manière … peu décente. Voulant ce changer les idées, Ryan était donc sortie du pensionnat, allant se ‘cacher’ vers le lac, là où malheureusement, Lyria était déjà et en petite tenue. Il était rester là a la regarder, se demandant s’il devait fuir, ou enfin affronter la demoiselle pour qu’ils puissent parler, s’expliquer. Le jeune homme avait finalement opté pour les deux à la fois. Il affronté les choses en s’installant a ses côtés, mais il fuyait en étant le plus silencieux possible pour ne pas se faire remarquer …

Cela devait faire a peine 5 minutes qu’il était assis à ses côtés, qu’il entendit soudainement les paroles de la jeune fille, qui lui allèrent droit au cœur. Oh non, il n’éprouva aucun plaisir en entendant cela … Il avait plutôt l’impression qu’un affreux couteau, plus qu’aiguiser fendait l’air pour venir s’abattre tout simplement sur lui, en plein cœur. Non pas le dos, le cœur, c’était mieux, plus douloureux. Une mine triste sur le visage, il s’apprêta alors à se relever, mais avant cela, il déposa une dernière fois son regard sur le magnifique visage de la déesse de ses pensées, s’apercevant alors que ses yeux étaient … fermés ?? Elle ne l’avait donc pas encore vu, il était soulager dans un sens … Mais cela voulait dire qu’elle … qu’elle pensait a lui ? Bonne ou mauvaise nouvelle ? Bonne question … Soudainement, alors qu’il ne s’y attendait absolument pas, la demoiselle commença a se dévêtir, dénouant le haut de son bikini. En effet, elle ne l’avait pas vu, c’était clair et net comme de l’eau de roche là. Bouche bée, Ryan resta planté là, à ses côtés, ne pouvant s’empêcher de la dévorer du regard. Finalement, il prit son courage a deux mains et dit d’une petite voix, un peu gêné tout en détournant enfin – hélas ? – son regard d’elle.

« Ly … Euh … Lyria ? »

Il ne savait pas du tout a quoi il allait faire face a présent. La jeune fille serait elle tellement gênée, qu’elle se contenterait de se rhabiller a vitesse grand V tout en fuyant ensuite ? Peut-être qu’elle serait choquée et qu’elle resterait plantée là ainsi. Dans ce cas là, se serait certainement dur pour Ryan de garder son regard loin d’elle … Mais il pencher plutôt pour le scénario suivant. Des hurlements, une bonne baffe comme quoi c’était un pervers, enfin quelques choses de ce style. Bah … Il verrait bien de toute façon … Et puis au fond, s’il se prenait une baffe, il aurait l’immense honneur de sentir la peau douce de la demoiselle sur sa joue, qu’elle bonheur, bien que se soit dommage que ça ne serait pas une caresse …

Ryan fut agréablement étonnée de voir que la demoiselle ne fuyait même pas. D’ailleurs étrangement, elle ne chercha même pas à se rhabiller. Un peu hésitant, le sous directeur, après une petite lutte infernal dans sa tête, ce décida enfin a reposer son regard sur la jolie rousse, toujours a moitié nue. Il vit alors son doux sourire et sentit son agréable regard sur lui, ce qui bien entendu le réchauffa bien qu’il ne face absolument pas froid aujourd’hui. La pluie capricieuse avait laissait place a un radieux soleil, comme si le ciel avait tout prévu, voulant qu’il face beau lorsqu’ils se rencontreraient de nouveau. Petit farceur. Alors que son regard était sagement posé sur son joli minois, il ne pu le retenir, le laissant descendre petit a petit sur le jolie corps de la rousse. Il se déposa tout d’abord sur son cou, une envie folle alors d’y déposer des baisers le prit, mais bien entendu, il s’abstint de le faire. Il alla ensuite chatouille la naissance de sa poitrine de son regard, pour finalement descendre vers son délicat et plat ventre. Elle était a croquée, s’il avait pu, il n’en aurait fait qu’une seule bouchée !

Finalement, ce rendant compte qu’elle n’était pas dans une tenue des plus … adéquat, la jeune femme plaça ses bras sur sa poitrine, ayant pour but de se cacher bien entendu. Rapidement, Ryan détourna alors une fois de plus son regard, le reposant sur son visage cette fois ci, l’entendant et la voyant prononcer des paroles qui semblaient peu charmante, enfin le ton. Son joli regard de braise avait été finalement remplacé par un regard noir. Ryan soupira alors doucement. Voyant qu’elle ne semblait pas trouver son haut de maillot de bain, sans même pensée à le lui tendre tout simplement, le sous directeur se dévêtit a son tour. Il retira alors le simple tee-shirt qu’il arboré, le tendant a la demoiselle pour qu’elle puisse se couvrir. A présent, on pouvait bien voir sa musculature. Certes il n’était pas baraqué comme on ne sait quoi, mais il était tout de même bien foutu. Ni trop musclé, pour que ça ne face pas trop, ni pas assez, pour que ça face gringalet. Ce 'vous' l'agacer un peu, mais il fit avec, ne prenant pas la peine de la vouvoyer à son tour.(Et ça rimeuh XD)

« Désolé … Je m’attendais pas à ce que tu … Enfin … Je me baladais juste … quand je t’es vu »

La seule réponse qu’il pouvait donner. Après tout c’était la pure vérité. Il ne c’était pas amusé a la chercher partout dans l’espoir de la mettre mal a l’aise ou autre. Non au contraire, il avait chercher a l’évité, pour finalement la rencontré. Après si elle c’était déshabiller ce n’était pas de sa faute. Enfin bon ce qui était fait était fait a présent. Et puis il fallait dire qu’au fond, pour Ryan, ça n’avait pas été désagréable de la voir ainsi, bien au contraire. Mais bon, pour ne pas la gêner, pour qu’elle puisse s’habiller tranquillement, il détourna son regard, le reposant sagement sur le lac. Il voyait le lac sans le voir, il était plutôt perdu dans ses pensées, revoyant les fabuleuses courbes de la demoiselle.

Ses yeux ne voulaient plus se détournaient d’elle, ils restaient planté sur elle, la fixant encore et encore, inlassablement. S’il avait pu, il serait rester ainsi pendant des heures a la dévoré du regard, mais hélas c’était tout bonnement impossible. Son regard était perdu dans le sien, elle s’énervait, elle allait bientôt explosé si elle ne trouvait pas se foutu haut de maillot de bain. Abruti, passe le lui. Mais a ce moment là, il n’y pensait absolument pas, comme si rien que le faite qu’elle soit là, le rendait totalement abruti. Il avait donc enlevé tranquillement son tee-shirt pour le lui tendre. Cette fois ci, il ne se demandait pas si elle allait le prendre ou non. De toute manière, c’était soit ça, soit elle s’énervait encore plus en le cherchant et en ne le trouvant pas car elle était tout simplement assise dessus. Oui, Ryan l’avait repéré ce fameux haut qu’elle chercher … Il aurait pu le lui dire hein ? Mais non … C’était un mec après tout et elle une demoiselle … drôlement jolie, irrésistible.

Ne faisant pas de chichi cette fois ci, la demoiselle attrapa le tee-shirt sans rien dire et ce hâta de l’enfiler. Ryan avait détourné les yeux pour qu’elle ne soit pas gênée, mais en tant que bon mec, il avait tourné discrètement son regard vers elle, observant de nouveau sa jolie poitrine qui avait une taille idéale. Il se mordit alors une seconde fois la lèvre inférieure. Avec ce tee-shirt trop grand sur elle, elle était encore plus irrésistible. Elle ressemblait un peu a une petite fille qui mettait des vêtements beaucoup trop grand pour elle. Ou encore a une demoiselle qui mettait tout simplement le tee-shirt de … son amoureux. Il n’avait qu’une seule envie, la prendre doucement dans les bras pour la garder tout contre lui, oh oui ce serait fort agréable. Mais une fois de plus, il ne fit rien, cette fois ci, c’était presque sur a 100% il se prendrait une baffe, la baffe du siècle. Alors qu’il ne s’y attendait pas, il entendit tout de même un petit ‘merci’ de la part de Lyria. Il se contenta alors d’hausser les épaules, c’était normal après tout.

« Oui … Enfin non c’est pas … Rhaaa … C’est pas ce que j’voulais dire … J’suis pas venu ici pour t’observer ou je sais pas quoi … »

‘J’voulais juste être près de toi’, il aurait dû dire ça. En effet au départ il voulait s’éloigner d’elle, mais maintenant qu’il était à ses côtés, il n’avait qu’une seule envie, c’était d’y rester. Il se sentait affreusement bien aux côtés de la jolie rousse, il pouvait la sentir non loin d’elle, il sentait son doux parfait enivrant … Soupirant doucement, le jeune homme détourna une fois de plus son regard, jusqu’au moment où il entendit ses paroles. Immédiatement, il tourna la tête vers elle. Partir ? Elle ? Hors de question ! Enfin non mais … Elle pouvait rester non ? Juste un petit moment … Tout les deux.

« Non pars pas … Enfin j’veux dire, il fait beau et chaud, c’est rare ces temps ci, il a plut beaucoup, ce serait dommage de ne pas en profiter »

Pitoyable, il était tout simplement pitoyable. Mais bon, c’était la seule excuse bidon qu’il avait trouvé pour tenter de la garder à ses côtés …

Devinez qui était la nouvelle comédienne de l’année ? Lyria Séléna ! Que de mensonges en une seule et unique phrase ! Tout ce qu’elle voulait c’était que ce baiser recommence pour ne jamais s’arrêter ! Son regard se voulait intense et glacial, mais si Ryan avait bien regardé, il pouvait apercevoir beaucoup de tristesse….

La pétillante Rousse tourna son regard bleu glace vers, elle le souhaitait tellement, son futur amant, et ne pu que laisser quelques étincelles de joies apparaître au fin fond de ses prunelles. Dieu qu’elle était contente qu’il était là, le simple fait de le regarder la satisfaisait, le simple fait d’entendre sa voix lui allait mais dès qu’elle se rappelait qu’elle ne pouvait ni l’embrasser, ni le regarder d’une manière douce et amoureuse, elle baissa de nouveau son regard pour qu’il devienne, comme à son habitude, froid et douloureux.

Les paroles de son interlocuteur semblaient confuses et Lyria aurait juré qu’il essayait de lui dire quelque chose mais qu’il n’y parvenait pas. C’était sûrement quelque chose dans le genre « Tu sais Lyria, tu es très bien comme une fille, mais il ne peux rien se passer entre nous, tu n’es pas ce que je recherche…. » Et Blablabla et Blablabla …

Menant la parole aux actes, elle se leva tout en douceur et remarqua que son maillot était juste en dessous d’elle, elle était resté assise dessus tout au long de, du cours, entretien entre Ryan et elle. Bon sang qu’elle avait du avoir l’air idiote ! De toute façon qu’elle importance, Ryan la trouvait déjà sûrement assez cinglé comme ça même avant d’avoir constater qu’elle était capable de s’asseoir sur son propre maillot et s’énerver en le cherchant partout.

Toujours vêtu du t-shirt blanc du Sous-directeur, la jeune femme ramassa son maillot blanc et se releva juste au moment ou Ryan semblait la regardé, son regard son plongea immédiatement dans le sien et pendant quelques secondes, Lyria cru lire autre chose que de la haine en ses yeux, mais cela ne devait être qu’une illusion. Avec un courage incomparable, elle cessa d’être sous l’emprise des beaux yeux du jeune ténébreux et écouta ses paroles. Il voulait donc qu’elle reste ! Pour être auprès d’elle peut être !...Elle l’aurait bien voulu mais il voulait tout simplement une excuse pour lui dire que ce baiser ne signifiait rien, comme il lui avait si bien fait comprendre il y a peu de temps.

Posant ses mains sur ses hanches elle décida de prendre les choses en main.

« Ecoute, pour se soit disant baiser, tu m’as très bien fait comprendre qu’il ne signifiait rien et que plus jamais il n’aura lieu…Pas la peine de venir me faire un discours sur les relations Elève/Professeur ou ton instant d’animal…C’est très clair pour moi, j’ai juste été faible l’autre soir et plus jamais ça n’arrivera… »

Le toucher, l’embrasser, effleurer sa peau, c’est tout ce que Lyria souhaitait en cet instant. Le corps de Ryan l’attirait tellement qu’elle aurait pu, à tout moment, foncer sur lui sans aucune explication et l’embrasser fougueuse non sans un soupçon de douceur. Ce qui était surprenant, c’était que pour une fois, il n’y avait pas que de la fougue dans cette envie, mais aussi de la douceur. L’envie de poser sa main sur son magnifique visage, de se perdre en ses pupilles d’un bleu glacial, de juste effleurer sa bouche pour sentir le simple goût de ses lèvres. D’habitude, Lyria ne passait pas par quatre chemin et ne prenait pas le temps d’être douche et romantique avec un homme. Elle le couchait sur le sol, lui arrachait ses vêtements et laissait leurs deux corps d’unirent pour le meilleur et pour le pire. Mais cette fois, elle avait envie d’autre chose et cela ne la rassurait pas.

[Très jolie la sign de Ryan et la ban sur la page d’accueil !]

Putain ce qu’elle était séduisante sous son foutu tee-shirt. Bien entendu, il aurait préféré qu’elle reste comme précédemment, sans celui-ci. Il aurait ainsi pu continuer de la regarder, de la détaillés du regard comme il l’avait longuement fait, secrètement bien entendu. Mais bon, comme celle, elle était tout aussi belle, elle ne perdait aucunement tout son charme qui faisait qu’il se sentait attiré par elle au plus haut point. Soudainement, la demoiselle se releva, apercevant alors son haut de maillot de bain a terre, juste à l’endroit où elle était assise précédemment. Ryan voyait bien qu’elle semblait gênée, elle devait se faire des tas de reproche dans sa tête, il en était persuadé bien qu’il ne pouvait pas connaître ses réactions. Il fit alors comme si de rien, comme s’il ne savait pas qu’il se trouvait sous elle avant. Elle le ramassa donc silencieusement, plaçant ensuite ses mains sur ses hanches, prenant la parole. Ca y est, elle évoqué ce dont ils redouté certainement tout les deux. Il fut alors surpris, d’entendre dire qu’il avait tenté de lui dire que le baiser signifié rien … Merde c’était faux, absolument faux ! Enfin … Oui c’est vrai, juste après celui-ci, il l’avait renvoyé dans sa chambre, prétextant le faite qu’il était tard. Pitoyable, encore. Il se releva alors et prit la parole à son tour :

« J’ai jamais dit qu’il signifié rien enfin …non, si mais … »

Il soupira bruyamment. Ryan ne trouvait pas les bons mots pour s’expliquer et c’était pire qu’agaçant. Il s’adossa alors à un arbre, sortie son paquet de cigarette et répéta les mêmes gestes qu’a chaque fois. Il commença alors a fumer tranquillement, tentant de ce calmer. Avoir Lyria a ses côtés, ne l’aidait pas beaucoup, mais il devait faire avec ! C’était pourtant pas compliqué de lui dire que c’était tout le contraire, il avait plus qu’apprécié le baiser, il avait été comme sur un petit nuage au Paradis, là où seuls eux deux avaient alors accès. Merde aller dis lui Ryan, fait pas ta poule mouillé ! Il tira une dernière bouffer avant de ce stopper et de se lancer. Cigarette toujours en main tout de même, au cas où il aurait besoin d’un réconfortant s’il ne trouvait pas encore les mots, il reprit la parole :

« Ecoute … En effet c’est pas simple, t’es une pensionnaire et moi pas qu’un simple professeur ou un pion mais le sous directeur c’est pas rien ! Ce baiser … Je sais pas pourquoi j’ai fais ça … Enfin si … J’vais pas te mentir … J’ai apprécié … beaucoup, vraiment. Et puis merde ! »

Il jeta alors sa cigarette a terre, ne prenant pas soin de l’écraser. Il s’approcha alors de la demoiselle. A présent, il se trouvait juste face à elle, presque collé. Il leva alors l’une de ses mains, la posant délicatement sur la joue de la jolie rousse, la caressant alors tout doucement. Sans même réfléchir, il fit alors ce don il avait envie depuis longtemps. Soigneusement et tout en doucement, il déposa ses lèvres contre les siennes, pour entamer un doux baiser passionner. A ce moment là précis, il s’en fichait pas mal qu’on les voient ou non …

Ellle regrétait tellement ses paroles ! Jamais ho non, jamais elle n’aurait du lui dire ça ! Mais pourquoi lui avait t’elle mentit ! De toute façon c’était sa spécialisé mentir, elle manipulais les gens avec une telle abilité qu’elle aurait pu devenir un vrau caméléon. Elle aurait tant voulut lui dire combien elle avait apprécier ce baiser , combien elle voulait à tout prix recommencer et surtout, combien elle avait envie de s’unir à lui ici maintenant, sur l’herbe chaude, peu importante qu’on les voient, c’étai son désir le plus chère !

Mais il fallait bien l’avouer, cela n’arriverait jamais, sauf dans les plus beau de ses rêves, mais en aucun cas dans la réalité.

La jeune rousse admira son beau mâle allumé une cigarette et était sur le point de lui en demander une, comme elle demanderait n’importe quoi à un ami. Mais l’ennui, c’était qu’il n’était pas son ami, et encore moins son petit ami. Lui était Sous Directeur et elle élève, ce qui ne faisait pas la paire.

Il semblait énervé, inquiet et même stréssé mais par quoi ? Lyria s’en doutait un peu, c’était surement elle qui la mettait dans cet état là. Bien sur elle avait raison, mais pas exactement. Elle pensait que sa simple présence le mettait fou de rage et qu’il foulait qu’elle lui foute la paix pour qu’il n’aye pu a endurer ses gamineries d’adolescentes. Mais il était dans cet état là parce qu’il avait envie d’elle plus que tout et a vrai dire, c’était pareil pour la jeune damoiselle.

Mais que ce qu’il voulait dire à la fin ? Il semblait tellement confu dans ses paroles. Qu’il l’envoie balader et puis voila au moins , elle serait fixer, c’était si compliqué que ça ? Lyria avait tellement l’habitude d’avoir un tempérament de peste qu’elle n’éprouvait aucune difficulté à envoyer balader certaines personnes, mais là, ses mains étaient moite, son cœur battait plus fort que jamais et elle avait honte de mentir….

Et puis d’un seul coup, sans même prévenir, alors qu’elle était plongé dans ses pensées à ce demandé comment Ryan allait lui faire comprendre qu’il ne voulait pas d’elle, elle aperçu la cigarette du jeune homme tomber avec violence à terre, enflammant quelque brin d’herbe au passage et puis tout se passa très vite.

Tout d’abord, le corps de son amant en face d’elle, son souffle caressant la fleur de sa peau, ses yeux au creux de ses prunelles, elle aurait tout fait pour lui sauter dessus et l’embrasser avec amour, mais elle ne pouvait pas. A vrai dire, elle était tétanisée de peur. Elle avait peur, peur de mal s’y prendre, peur qu’il soit déçu, peur qu’encore une fois, il la rejette.

Une douce chaleur vînt couvrir sa joue rougie par le sentiment de l’intimité qu’elle venait de découvrir, c’était la main de Ryan et elle n’eu même pas le temps de réfléchir a quoi que se soit que les lèvres du jeune homme vinrent couvrir la bouche de la damoiselle en un doux et tendre baiser.

La rousse écarquilla d’abord les yeux et perdit le contrôle de son cœur. Il battait si fort qu’elle se demandait s’il n’allait pas sortir de sa poitrine. Elle avait aussi perdu le contrôle de son corps, ne pouvant plus bouge le moindre de ses menbres. Ses jambes tremblaient d’émotion et finalement, sans comprendre comment, elle réussit à enrouler ses bras autour du coup du jeune homme tout en passant une main parmit sa douce chevelure.

Pouvoir sentir le goût de ses lèvres, pouvoir enfin l’avoir tout contre soi, Lyria était monté au septième ciel du baiser nuptiale et jamais encore elle n’avait ressentit cette étrange sensation, jamais…..

Elle prolongea le baiser, mordillant la lèvre inférieure du jeune homme pour pimenter le moment et puis d’un seul coup, elle ne savait pas pourquoi, elle le repoussa violemment le dévisageant….

« Si c’est pour recommencer à ignorer ce baiser 5 minutes après, tu peux toujours courir Sullivan ! Je ne suis pas un jouet et encore moins le tient !... »