Débarque dans le dortoir.

Stéphane, énervé, ouvrit violemment la porte d'un grand coup de pied - ca devenait une habitude... - , regarda à l'intérieur de la pièce; puis soupira, déçu.
Encore.
Il la cherchait depuis pas mal de temps, sans réussir à retrouver où elle logeait. Toutes les chambres se ressemblaient, au moins de l'extérieur, et le couloir était grand; c'était à en désespérer d'y trouver quelque chose.

Empêchant d'une main la porte contrariée de lui revenir dans la figure, il regarda la jeune fille qui lisait. Encore une paumée; elle lisait un bouquin vaseux et il n'aimait pas sa facon d'être fringuée, mais bon... Tant qu'à faire, allez, de toutes façons y'a personne dans c'trou à rats. Il l'interpella d'une voix fatiguée, lui mopntrant qu'il daignait s'abaisser à lui adresser la parole. Certes, il était né maudit, sa vie n'était qu'un vaste échec, et on le haïssait avec raison, mais il n'avait pas à respecter les gens pour autant.

"Hé toi, la gamine," aboya-t-il, "Si tu la connais, tu sais où j'pourrais trouver Esther?"

Il n'espérait pas vraiment à une réponse positive, encore moins à une réponse agréable -les gens étaient plus téméraires ici qu'au dehors, ou alors c'est qu'ils ne le connaissait pas assez- mais resta néanmoins dans l'encadrement de la porte, attendant une quelconque réaction de sa part.

[Désolé ce n'est vraiment pas génial (mal au crâne), mais l'essentiel y est - j'éditerais pour améliorer la qualité d'écriture plus tard (là j'y arrive pas...), mais ne t'inquiètes pas je ne changerais rien d'important EDIT: voila qui est fait. C'est un peu mieux. ]

Lies sortit de sa rêverie, et son regard se tourna vers le jeune homme devant elle. Son regard devient glacé lorsqu'il l'appela "gamine".

"La gamine ne connaît pas d'Esther, et de toutes façons, si elle la connaissait, elle vous dirait quand même d'aller vous faire voir…Les garçons doivent frapper avant d'entrer dans un dortoir féminin, monsieur le malpolis!"

Elle croisa les jambes et ne prêta plus attention à cet homme. Lies ne supportait pas qu'on l'insulte où qu'on la juge. Elle n'appréciait pas de toutes manière les adultes en général. Si il n'avait pas été un adulte, elle l'aurait sûrement insulter beaucoup plus. Lyzianor se replongea tant bien que mal dan sa lecture, mais la présence du garçon la déconcentrait.


[En fait ça m'arrange car j'ai aucunes imagination pour ce post…:p désoler pour sa longueur qui frôle l'inexistence…]

[Pas grave! De toutes façons moi aussi je fais des posts tropc ourts là ... c'est moi qui m'excuse. ^^"]

Agacé, Stéphane envoya son poing voler dans la porte, ce qui la fit trembler dans un bruit de tonnerre. Elle arborait maintenant une belle marque de bois brisé.

"J'ai frappé à la porte,voila qui est fait " ajouta-t-il, sarcastique, "et maintenant, Madamoiselle aurait-elle l'honneur de me dire si elle connait une Rine ou une Lamarha? Je serais heureux d'avoir des renseignements, car, voyez-vous, cela me permettrait de retrouver plus vite la fille que je cherche, et donc de partir de ce ... pucier."

Moqueur, il l'insultait d'un ton glacial tout en souriant gaiement. Il ne lui montrait pas plus de respect ni même de compréhension qu'avant, il se fichait d'elle, il restait arrogant comme toujours. Et ce sourire ... le même sourire que d'habitude - le sourire de celui qu'on appelait jadis le Démon et qui provoquait sciemment un adversaire.

Stéphane était entré dans la pièce et s'approchait de la jeune fille, voulant la forcer à réagir. Peut-être finirait-il par la frapper ... ca pourrait devenir amusant, et elle n'aurait que ce qu'elle mérite. Elle n'avait qu'à répondre correctement. On ne lui résiste pas impunément.

Lyzianor eut un sursaut lorsqu'elle entendit le fracas du poing contre la porte. Elle regarda le garçon comme si il était fou.

* De toutes façon, il veut juste du public…Espèce de petit c…*

Elle écouta le discours du jeune homme, avec un sentiment de peur qui grandissait en elle. Elle arrivait tout de même à se contrôler, mais un psychopathe sûrement majeur…Elle voyait mal ce qu'elle pouvait faire. Le ton du jeune homme était cruel et moqueur. Parfait. Tout pour rassurer une fille de 14 ans, qui débarque et qui ne dépasse pas 1 mètre 56… de plus, la salopette large ne lui permettait pas de courir rapidement, à part si elle tenait à participer au concours de la plus belle gamelle…Lies s'aperçut avec horreur que le garçon était à une vingtaine de centimètre d'elle! Consciente qu'il fallait qu'elle lui réponde, elle adopta un ton glacial et oublia quelques secondes la peur qui lui démontait l'estomac.

"Très cher Monsieur, je ne connais pas de personnes portant un nom semblable, vu que je vient de débarquer dans ce p*tain de pensionnat de m*rde, alors vous serez prier de vous BARRER de ce p*tain de dortoir parce que j'aimerais pouvoir LIRE tranquille!!! Alors allez jouer votre numéro du michant vilain garçon pas beau dans un autre dortoir, et laissez moi finir mon bouquin, B*RDEL!!!"

Elle se rendit compte qu'elle était très vite passé du stade "galciale" au stade "gueularde". Malgré tout, elle continua à fixer dans les yeux cette grande perche pendant quelques secondes, puis décida de l'ignorer.

* Si je meurt, je tiendrait cet abrutit comme responsable!*

[Ouah, désolé pour toutes les injures xD la pove est de mauvais poil…]

[C'est pas grave du tout! De toutes façons il le mérite bien! le sale type! XD]

En voyant la gamine s'énerver contre lui, Stéphane se mit à rire. D'abord faible, presque inaudible, son rire devint franc - il ne cachait pas le fait qu'il la trouvait bien ridicule d'essayer de lui tenir tête. Aucune chance! Il se calma un peu, s'arrêta de rire, et, toujours souriant, regarda la jeune inconsciente.

Puis, toujours narquois et arrogant, toujours souriant, il mit une main sur son livre et le lui arracha des mains, le jetant au sol. Il attrapa ensuite l'inconsciente calmement par les cheveux et,tirant violemment vers le bas, la forca à lever la tête pour le regarder. Le visage de la jeune fille était maintenant tout près du sien, et il la regardait droit dans les yeux.

"Tu pourras lire quand j'aurais ma réponse, gamine." fit-il, souriant sadiquement, puis ajouta: "A moins que je décide autrement."

Aussi près, on pouvait voir les traces des nombreux combats qui avaient formés sa vie. Cicatrices, blessures mal soignées, brûlures, et, surtout, le regard confiant d'un guerrier, d'un démon, d'un homme qui aime se battre et qui accueille la douleur autant qu'il la donne. Et en ce moment, ses yeux montraient qu'il était vraiment énervé, et prêt à passer ses nerfs sur la première personne qui venait.

"Alors?" continua-t-il, sur le même ton volontairement orgueilleux et agaçant; "Tu me réponds, ou je me défoule, frustré de ne pas avoir ce que je veux?"

[J'ai l'impression de taper tout le monde en ce moment moi ^^" ...]

[Sur un autre rpg, j'ai fait exactement pareil xD]

Lies, qui était très sensible au niveau des cheveux, ne put retenir un gémissement de douleur lorsqu'il l'empoigna violemment. Il n'avait donc pas compris qu'elle ne connaissait pas ces deux filles?! Lies se débattit, crachant des injures de plus en plus violentes

"Dégages ta face de devant mes yeux, je vais vomir !! Et lâches moi!! Je te dirais pas où son tes copines, parce que je ne sais même pas à quoi elles ressembles!! Et…Aïeeeeu! Lâches mes cheveux!"

Lyzianor se détestait de se ronger les ongles. Si elle avait eu des griffes acérées, elle aurait pu se défendre, mais à part donner des coup de pieds dans le vide et lui postillonner à la figure…Elle décida de se calmer. La jeune fille rentra les joues et lui cracha à la figure, en espérant le faire lâcher prise. Ensuite, elle lui assena un coup de pied au niveau du bas ventre.

"Mais dans le genre t'es collant, toi!! Tu me fais MAL lâches moi, espèce de sale sadique!!!"

Elle balançait des insultes à la vitesse de l'éclair, sa voix sifflait et ses yeux commençaient à lui brûler. Le sadique avait dû lui arracher une bonne mèche de cheveux…

[Ahlala mauvaise réponse. La pauvre. *rire sadique*]

Sous le coup de la jeune fille, Stéphane lâcha prise, mais ne resta pas mis hors de nuire longtemps à cause de la douleur. Elle savait où frapper, la mioche! Mais on ne peux pas dire qu'elle frappait fort, et ca ne faisait que l'énerver un peu plus. Lâchant la poignée de cheveux restés dans sa main, essuyant d'un revers de main le crachat, il la regarda et se mit à ricaner.

"Ahlala, mauvaise réponse, petite. Et maintenant je suis vraiment énervé." dit-il, imperturbable, avec son éternel sourire, "dommage pour toi, c'est la solution deux qui va te tomber dessus. Je crois que je vais me défouler un peu..."

Il rattrapa ses cheveux, passant outre ses défenses, et tira une nouvelle fois. Aussi fort qu'il le pouvait.

"Alors, ca fait mal?" continua-t-il, toujours sur le même ton uni, toujours avec le même sourire sadique; "si ça te fait mal, c'est que tu n'as encore rien vu..."

Et, riant maintenant, il la fit tomber au sol avant de lui asséner un violent coup de pied dans le ventre. Puis se baissa pour que la petite qui se tordait de douleur par terre puisse le voir quand même. Il attendit joyeusement sa réaction,s'attendant à un coup au visage ou au bas-ventre - elle ne pouvait rien lui faire de toutes façons si tout ce qu'elle pouvait faire était le caresser de ses poings et lui cracher au visage.

Croyant stupidement qu'il s'était bien éclater, et qu'il arrêtait, Lies recula en se tâtant le crâne, en s'assurant qu'il ne lui manquait pas trop de cheveux. Mais, sans plus comprendre elle se retrouva à terre, et en train de se prendre un méchant coup de pied dans les côtes. Et le pire c'est que cet espèce de sadique avait l'air très, très content. Lyzianor se battait contre les larmes, et contre l'envie de se relever (bon, ça s'était aussi un problème de moyens) et de mettre une beigne à cet abrutis. Elle avait l'impression d'avoir une côte cassée.

"Espèce de dégonfler…Tu n'es qu'un pauvre lâche, sale dégonfler!!"

*Bravo, tu à réussis à te faire démonter la gueule dès ta première journée…Peut-être que lui est sadique, mais moi, c'est clair que je suis masochiste…*

La jeune fille lui adressa un geste obscène de la main, mais rangea bien vite son doigt avant que se psychopathe de service ai la brillante idée de le lui arracher…

"Maintenant passes moi mon livre."

Elle s'était reculer et se tenait les côtes en grimaçant. Elle se passa la main dans les cheveux et constata que les trous n'étaient pas visibles et pas très importants.Lies commença à chercher une quelconque manière de se venger, mais ne trouvait rien de bien brillant.

"Je te préviens; Tu n'as pas intérêt à me toucher!"

[le couple sado-maso de l'année xD]

[C'est vrai que quelque part faut être maso pour essayer de provoquer Stéphane quand on est une frêle jeune fille! Faut pas chercher le Démon mwahahahaha!!! *rire sadique* xD]

"humm... je ne sais pas si l'espèce de sale dégonflé a très envie de te rendre service" fit-il, narquoisement, avant de ramasser le livre.

"Oh mais c'est un joli bouquin ..." commenta-t-il, souriant; "mais j'ai pas envie de te le rendre. Enfin, j'espère que tu l'avais déjà lu." Et, appuyant un pied sur le ventre de la jeune fille pour l'empêcher de bouger, il déchira son livre en deux, soigneusement, puis encore une fois, pour finir par jeter par poignées les morceaux de feuilles maintenant plus reliés à rien.
Lancant ce qui restait au fond de la pièce, et regardant maintenant la jeune inconsciente, il sussura joyeusement:

"Tu vois, j'ai une idée beaucoup plus amusante que lire ton livre. Tu as beaucoup de chance, petite, tu vas passer le pire quart-d'heure de ta vie. Fallait pas me mettre en rogne."

Il se baissa, l'attrapa par le bras, et la plaqua contre le mur. Stéphane la tenait maintenant par la gorge, comme il le faisait toujours, et la souleva légèrement, de façon à ce qu'elle ne touche plus le sol de ses pieds. Facile, elle était tellement légère qu'il arrivait à la retenir d'un bras, même s'il ne tiendrais probablement pas assez longtemps àson goût pour pouvoir la martyriser auant qu'il le voulait.

Puis, passant sa main dans les cheveux de la jeune fille, pour redescendre en lui caressant la joue, et ,enfin la tenir de ses deux mains, il lui murmura, joyeusement, sadiquement:

"Alors, que vais-je te faire?"

[AAAAH!!! BARBARE!!! xD*Pourquoi je sourit alors qu'il est en train de torturer mon perso?* ]

Bon. Lies venait d'apprendre quelque chose de très intéressant ici; Ne pas chercher plus grand et plus fort que soit, sous peine de gros traumatisme. Elle ne comprit pas le pourquoi du comment, mais elle n'arrivait plus à respirer. Ce fut lorsqu'elle ouvrit les yeux et qu'elle se retrouva nez à nez avec Monsieur Psychopathe qu'elle comprit que la prochaine fois, elle remballerais son égaux. Lorsqu'il leva sa main, la jeune fille ferma les yeux, mais il ne la frappa pas; Il lui passa la main dans les cheveux, ce qui était bien pire. Outrée par cet acte, elle essaya de donner des coups de pieds, sans résultats, enfin, il la lâcha, et elle retomba sur ses pieds en suffoquant. Mais lorsqu'elle sentie les mains du garçon glisser sur sa joue, ce fut l'adolescente qui arrêta de respirer de terreur. Elle l'entendit proféré d'une voix très peu rassurante une phrase encore moins rassurante…

"Alors, que vais-je te faire?"

Lyzianor retrouva l'usage de la parole. tétanisée, l'adolescente le regardait, inquiète. Elle le détestait. Non. Elle aurait voulu le voir mort. Elle essaya de respirer normalement.

"Lâches-moi, sinon je hurle…"Murmura t-elle.

[Oui, lâches là si tu tiens à tes tympans…^^]

[Vouiiii je suis un barbare *o* ptdr]

"Tu crois ca ... enfin, merci de m'avoir prévenu!" sourit-il, plaquant une main contre sa bouche, l'empêchant de hurler. Elle pouvait à peine formuler une phrase, maintenant, seulement gémir.

Aucune chance. Elle n'avait aucune chance. Ce n'était pas la première fois qu'il torturait quelqu'un, et il savait s'y prendre. Il aimait faire mal, il aimait briser tout ce qu'il trouvait. Il était né Démon, et vivait comme on le lui avait appris, vivait de la seule manière qui lui restait. Et maintenant, il passait ses nerfs sur une pauvre gamine, s'amusant beaucoup, et ne comptant pas s'arrêter de sitôt...

Se serrant tout près d'elle, sachant qu'elle ne pouvait rien faire, il la toisa d'un air appréciateur, avant d'annoncer:

"Alors, tu as une autre idée de ce que je vais pouvoir faire?" Puis, prenant garde à ce qu'elle ne puisse rien dire, et passant une main sur son corps, il lui sourit. "Oh c'est vrai, tu ne peux plus parler, c'est dommage, hein, tu vas devoir découvrir, ce sera une surprise..."

[je pense à u ntruc; à moins que ton perso n'est trois bras, il ne peupas lui plaquer la main contre la bouche, lui tenir les mains et en même temps a peloter…Bon, on va dire que de toutes façon, mon perso elle peu pas bouger…]

*Bravo Lies, je te décerne la palme d'or de la stupidité. Bo*del, pourquoi y a personnes dans ce dortoir?!*

Lies essayait de mordre la main devant sa bouche, ce qui était une opération difficile. Elle laissa tomber, après avoir faillis se déboîté la mâchoire trois fois, et préféra essayer de se sortir du pétrin dans lequel elle s'était fourrée d'une autre manière. Lies essaya aussi de hurler, mais seul un espèce de gémissement sourd sortit de sa bouche. La jeune fille, qui était plus que paniquée, se débattit le plus possible, mais se figea lorsqu'elle sentie une main qui n'était pas la sienne se balader sur son corps. Elle recommença à hurler, mais toujours le même gémissement presque inexistant s'échappait. Elle ferma les yeux si fort qu'elle en avait mal. Elle priait pour qu'il parte. Et elle priait aussi pour que ses ongles poussent à la vitesse de la lumière pour lui permettre de le griffer…Mais Lyzianor se rappela que ce sociopathe de service ne semblait pas connaître le mot, et encore moins le sentiment de culpabilité, et qu'il lui aurait sans doute arracher les ongles un à un. La jeune fille se promit intérieurement de se ronger les ongles tout le reste de sa vie.

*Si je survis*

Elle grogna et essaya de chasser cette fichue main. Elle échoua lamentablement, et grogna de plus belle. Si il pouvait simplement partir… Juste partir…

[Je t'explique (*a déjà essayé avec plus ou moins de succès*): il ne lui tient pas les bras; pour l'empêcher de faire quelque chose en l'empêchant de crier, il faut qu'il la tienne en plaquant sa main contre sa bouche, et la forcer à rester debout sur la pointe des pieds. Avec la force qu'il a (enfin comparée à ton personnage) , une vie passée à se battre et à torturer les survivants, et le fait que Lies panique, je pense que c'est possible. Inutile de dire que la pauvre Lies est dans une position extrêmement inconfortable, que ca doit faire mal, et que si elle a la possibilité de bouger, elle est suffisament gênée pour que son bourreau puisse parer toute tentative de fuite de sa part. Voila! Désolé du long monologue, de l'explication minable, je réponds tout desuite!]



Stéphane, ignorant les vaines tentatives de fuite de Lyzianor, continua à caresser la figure de Lies, à lui triturer les cheveux, à défaire ses habits, à promener sa main où bon lui semblait, et surtout sous les vêtements. Puis, au bout d'une dizaine de minutes qui avaient du sembler abominablement longues pour la jeune fille, il se lassa de ce petit jeu. Ce n'était de toutes façons pas son genre de violer quelqu'un, et encore moins une gamine informe.
Puis, il lui sourit, et la lâcha soudainement, pour lui envoyer un coup de pied dans la chute. Elle s'effondra lamentablement sur le sol.

Il se mit à rire. "Alors, ca t'a plu? J'suis pas d'humeur à m'faire une planche à pain en ce moment, j'vais te laisser tranquille pour cette fois. Si j'te revois, par contre, si tu m'énèrve encore, t'as interêt à courir. Et vite. "

"Allez, rhabille-toi, traînée, sinon les gens vont s'faire des idées." Il lui cracha au visage - ultime revanche - et, envoyant un grand coup de pied dans les affaires qui traînaient par terre, il s'en alla sans se retourner, la laissant demi nue, pleurant peut-être, effondrée sur le sol. Il avait déjà eu son compte de torture avec Dawn, et, magnanime, laissait la gamine tranquille, pour cette fois.

[Désolé je fais des posts courts en ce moment v_v]

[Alors je suis outrée…Comment ose t-il dire…Informe!! Comment ça, "informe"?! Informe…!!! Je m'en souviendrais!…Informe…Presque nue? Où, quand il l'a déshabiller?! Aaaah, c'est une agression sexuelle, mon cher, je porte plainte!! Préparez vos avocats, je vais vous traîner en Justice!!xD]

Lies, totalement terrorisé Ne bougeait plus d'un pouce, notamment parce que si elle bougeait, elle tombait en avant et donc sur Monsieur Sociopathe, et donc ce qui n'était pas à son avantage. Elle se colla le plus possible au mur, En secouant la tête pour qu'il retire ses doigts de ses pauvres cheveux ébouriffés. Soudain, elle s'écroula par terre. Ce ne fut qu'après avoir vu les pieds de son agresseur qu'elle compris qu'il l'avait lâché plutôt brutalement. Lies remarqua aussi quelque chose de très, très étrange… sa salopette était à côté d'elle. Comment la salopette qu'elle portait pouvait se retrouver…

*Je vais le tuer…*

Elle se colla contre le mur et commença à pleurer, son vêtement serré contre elle. Elle détestait tout le monde; Ses parents,qui l'avaient envoyer en France, sa Tante, qui l'avait laisser se faire envoyer dans ce fichu pensionnat, cet espèce de psychopathe traumatisant qui l'avait foutue à poil, et aussi ses ongles qu'elle rongeait! Lies n'osait plus bouger, bien que sa tenue aurait dû l'inciter à revêtir au moins un jean…Parce que se promener en culotte se n'était pas vraiment bien vu…Lies se passa une main dans ses cheveux, qui n'étaient plus qu'une masse de nœuds.

"Il va me le payer…je le déteste!"

[YES! toutes les insultes et moqueries qu'il a lancé on fait mouche! XD Et relis le post précédent, je sais que j'ai été trop rapide dans l'écriture (pourquoi fallait-il que ma famille revienne à ce moment? -_-) mais c'est quand même expliqué. Enfin en même temps c'est vrai que j'essaye de jouer un psychopathe-pervers-sadique-&-co alors que son attitude me dégoute un peu, donc c'est pas toujours génial ]

L'ayant entendu au seuil de la porte, Stéphane se mit à rire. Il riait de la détresse de la jeune fille, de sa haine impuissante envers lui et envers le monde, et de tout ce qu'elle était.

"Alors gamine" fit-il, haut et fort pour qu'elle l'entende depuis le couloir; " puisque tu veux te venger, connais le nom de ton bourreau! J'm'appelle Stéphane Tallow!" Ultime bravade. Il avait hâte de voir comment elle allait réagir. Peut-être un passage supplémentaire chez le sous-derche... Il finirait par le connaître, ce sous-directeur.

Et, riant toujours, amusé de ce qu'il avait fait, le Démon s'en alla, sans un regard en arrière, sans un regret, disparaissant dans les couloirs, continuant de chercher Esther, qu'il aurait bien aimé revoir. Et ne pensa plus à cette gamine qu'il avait laissé à moitié nue, affalée par terre, pleurant probablement. Ce n'était qu'une victime de plus sur son sillage. Qui ne valait même pas la peine qu'on se souvienne d'elle.

[Bon. The End, je suppose. Désolé pour les longs HS et les courts messages RP...]