Songe d'une jeune femme...

Eri avait le cafard. Elle se baladait tranquillement dans les couloirs mais il n'y avait pas un chat à l'horizon. Elle commençait sérieuseent en avoir marre. Bien qu'elle était habituée à la solitude, elle était coincée dans la pension. Rien à faire. Avant c'était tellement plus simple mais peut-être plus haïssable.

La jeune irlandaise détestait son passé mais elle aimait certaines choses tout de même, surtout les 400 coups qu'elles faisaient avec ses copines yankees. C'était le bon temps pour elle. De plus, elle trouvait cela étrange de ne plus voir un commisériat de police, elle avait été tellement habitué aussi à y aller. Cela la faisait rire de plus belle. Serait-elle nostalgique au bout du compte? La jeune fille chassa cela de ses idées.

Dans les longs couloirs, elle décida d'aller prendre l'air. L'atmophère pesante des lieux commençait légèrement à l'étouffer. Tout en marchant vers le toit où elle pourrait respirer, elle ouvrit sa veste et farfouilla dans une poche intérieure. Elle en sortit une cigarette qu'elle mit directement dans son bec. Puis elle fouilla dans une autre poche et sortit son briquet. Elle alluma sa clope tranquillement et ouvrit la porte qui perùmettait d'accéder au toit à coup de pied. Elle aperçut une autre pensionnaire, elle aussi en train de fumer.

" Yo! Je vois que les bonens idées se rencontrent! "

Eri se tut ensuite et alla s'adosser à un mur pour se laisser glisser au sol ensuite.

[délosé pour le retard mais j'ai prevenu^^ je repond quand je me sens un peu eveillé...]

Il n'etait pas arrivé depuis longtemps mais deja il avit aquit la certitude que les clopes serait dure a trouver. Du coup, avant meme d'arriver il avait subtiliser au flics trois paquet de clopes...mais il avait oublié le briquet. Et la il avait presque envie de pleurer. Il en était rendu la dans le fil de ses pensé, envisagean meem le pire : faire joujou avec deux pierre et du papier dans l'espoire de crée le feu prehistorique lorsqu'il vit sur el toit la lueur qui tel un phare le prevenait de la localisation spaciale de deux fumeurs! bien entendu la lumiere du jour en permetteait as de voir si c'etait bien des cigarette mais Ambrose, apres tout se bazar n'avait pas envie de remettre son instinct en cause, aussi il couru. un peu comme un deraté d'aileur, jusq'au toit. Et la deux jeune fille l'attendait. Il retint un sourire se disnt qu'il avait bien fait de rependre son souffle derriere la porte puis s'aprocha de la compagnie.

"Tient t'est la fille de tout a l'heure toi? dans le hall?"

Puis se retournant vers la seconde jeune femme.
"Salut, Ambrose weatherman, un peu magicien mais pas assez pour allumer ma clope sans feu..."

puis au deux jeunes femme en meme temps :
"Si l'une de vous deux avait un briquet ou des allumetes s'a m'arangerait beaucoup...sufisament pour que je la remercie en tout cas."

Eri qui avait començé à se replonger dans ses vieilles pensées, cigarette au bec, fut soidainement éveillée par le grincement de la porte du toit, qui commençait légèrement à rouillée à son goût. Le son était tellement horrible qu'elle en serra les dents. Puis elle vit un gars, qu'elle n'avait jamais croisé.... pas étonnant car elle se sortait pas souvent de sa chmabre sauf pour déambuler dans les couloirs, pour aller piquet des gâteaux dans la cantine ou aller fumée dans un coin oxygéné de la pension.

Elle dévisagea de haut en bas le jeune homme, prenant sa cigarette entre deux doigt et recrachant nonchanalement la fumée dontelle evanit de se délecter.

* Bordel.....je connais vraiment personne dans ce bled.... je commence à craindre sérieux là.... *

Le jeune homme semblait déjà connaître l'autre inconnue. Elle leva un sourcil, un peu ébétée, elle qui était dans la pension depuis déjà un petit moment. Même les nouveaux se connaissaient déjà. Elle ensecoua la tête de droite à gauche, un peu désespéréé d'une telle situation. Et voilà que celui cise présentait.... était-il nécessaire qu'elle le fasse aussi? La politesse le voudrait...mais Eri....se moquait complètement des conventions et des bonnes manières qu'elle estimait être une perte de temps.

Assise par terre adossé à son mur, elle regarda Ambrose, puisque tel était son nom. Elle aprla sur un ton neutre de sa petite vois à l'accent irlandais.

" Un peu magicien? .... et bein....on en voit de toutes les couleurs dans cette pension...."

Elle poussa un long soupir. Elle remit sa cigarette à la bouche qui commpençait à se consummer inutilement, laissant avant les cendres voguer dans le vent. Elle faruilla dans l'une des poches de sa veste. Et toujours, la clope au bec, elle s'adressa entre ses lèvres à Ambrose.

" Je suis généreuse aujourd'hui...."

Elle lui lança son briquet. Puis commença à regarder ailleurs.

* Oy!!!!!.....je deviens prêteuse moi? depuis quand..... c'est à plus me reconnaître....putain de pension.... *