pourquoi pas

valentine avança vers le balcon elle commençait a en avoir marre des personne de cette endroit personne ne lui parlait et personne ne la respectai elle etait enervée et aprocha du bord du balcon monta debout sur le rebord ferma les yeux repensa quelque seconde puis elle s'assit les pieds dans le vide en reflechissant pour savoir si elle faisait le bon choix elle etait venu içi a cause de la drogue mais nombre de pensionnaire sont mechants et brutals elle ne voulai pas de cela elle voulait vivre tranquilement aupres de la personne qu'elle aimerait puis elle se remit debout elle etait decider a sauter a en finir une fois pour toute avec ces jeunes qui ne faisait meme pas attention a elle elle deplaca ses pieds de uelque centimetre vers le bord

Stéphane, comme à son habitude, se baladait sur le toit sans but à sa promenade, il attendait juste que la nuit tombe. Pour regarder les étoiles. C'était bien la seule chose d'inerressante dans ce trou à rats, et il ne manquait pas une occasion de le faire, et ne comptait pas en manquer une. Du moins aucun pion ne l'avait pris à se promener dans les endroits défendus qu'il affectionnait, il avait donc les mains libres pour ce faire.

Voulant rentrer pour attendre tranquillement à l'intérieur -il commencait à faire froid- il arriva sur le rebord de toit au-dessus du balcon ou l'escalade était simple, et aperçut une jeune fille prête à sauter dans le vide.

Allons donc,une tentative de suicide maintenant. Maison de fous...

"hé, tu penses faire quoi, là?" interpella-t-il l'inconnue, assis sur le toit jute au-dessus de la porte du large balcon, en haussant assez la voix pour qu'elle puisse l'entendre.

en entendant la voix la jeune fille se retourna trebucha et tomba elle se racrocha au balcon comme elle put mais n'etait pas asser forte pour remontée et puis de toute façon elle etait venu lapour sauter alor maintenant , elle lacha donc une main hesitant grandement avant de lacher l'autre elle tenait comme elle pouvait le corps dans les vide sa main glissant peu a peu sur le rebord du balcon
"t'est qui toi ?"
demanda elle d'une voix severe au jeune homme

Amusé du regard sévère que lui lancait la petite fille alors qu'elle allait tomber, Stéphane descendit prestement de son perchoir, courut sur le rebord du balcon avec agilité, et lui tendit la main pour l'aider à remonter.

"Si tu veux discuter, évite de te tuer avant. C'est durde parler à un cadavre." plaisanta-t-il.

Il était confiant; il pouvait remonter la jeune fille sans problèmes -elle semblait bien frêle et légère, et il avait une vie de combats derrière lui- et ne pourrait pas être accusé de n'avoir rien fait si elle décidait de se casser la figure tout en bas.

suite a la plaisanterie du jeune homme son regard fut encore plus severe et n'essaya meme pas d'attraper la main du garçon elle lui cria alor dessus ,elle etait tres enervée et lui redemanda
"T'est qui toi repond ?"
elle glissait petit a petit et ne cherchait meme pas a atraper la main du garçon tendu au dessus d'elle , desormais elle n'avais plus confiance en personne si jamais il l'atrapait et la lachait par la suite elle en mourerait et en y reflechissant bien elle ne voulait pas mourir elle tendit legerement la main vers celle du jeune homme mais ne prit pas sa mains elle attendait d'etre sur

Stéphane n'hésita pas, il aggripa la main de la jeune fille, juste histoire qu'elle puisse entendre ses réponses. Il y avait vraiment n'importe qui -n'importe quoi- dans c'te prison...

"Ca t'avanceras à quoi de savoir qui je suis? Enfin bon. J'suis Stéphane, prisonnier d'ce trou perdu comme toi. Et toi? T'es qui?" lui répondit-il finalement.

"Bon, je te remonte ou je te balance par-dessus bord? C'est toi qui choisit." Il commencait à fatiguer -il était dur de porter longtemps une jeune fille, même frêle, d'une seule main et sans aucun appui. Si elle voulait crever, qu'elle meure, mais qu'elle choisisse vite, il ne tiendrait pas longtemps et finirait par la lâcher.

elle sentit la main du jeune homme agripée la sienne elle le regarda dans les yeux et lui dit
" moi qui je suis ? tout le monde s'en fout de toute façon personne ne me voit içi j'ai l'impression d'etre seule remonte moi "
lorsqu'elle fut remontée elle mit un coup de poing dans le ventre au jeun homme et lui dit a l'oreille d'une voix dur
"tu raconte sa a quelqu'un je te tue compris !"elle rmonta sur le rebord et regarda le sol de nombreux metres sous ses pieds

[Note: t'auras pas mon perso comme ca. une vie de mercenarait, et tris ans de plus que la jeune fille, ca paye ^^]

Encaissant sans problèmes le coup de poing -il en avait connu de bien pires, et ce n'était pas une petite fille qui allait arriver à le mettre à terre aussi facilement- il se leva lui aussi, en équilibre sur le rebord large mais penché qui servait de barrière (inutile...) au balcon.

Il posa une main sur l'épaule de la fille lui tournant le dos, et la broya. Forcant la jeune fille à s'asseoir en resserrant son étreinte, il lui dit d'une voix douce:

"Gamine, si tu tabasse les gens, il est normal qu'on ne t'aime pas." Toujours sans desserrer sa main et conscient du fait qu'il lui faisait mal, il continua d'une voix moqueuse: "Alors tu t'appelles comment? Que je connaisse le nom de mon assassine!"

Il relacha soudainement la jeune fille, la laissant agir comme elle le voulait, mais resta sur ses gardes - elle ne pourrait pas l'aggresser une fois de plus, elle n'y arriverait simplement pas, et se prendrait une riposte cinglante dans sa figure hautaine.

[la qualite du combattant se mesure a la qualite de son jeu de combat]
la jeune fille avait mal a l'epaule elle ferma les yeux et serra les dents avant de crier
"AYE tu sais au debut j'etait pas comme sa c'est eux qui mon fait devenir comme sa et mon prenom cest valentine"
elle avait mal treess mal et des larmes commençaient a couler sur sa joue
"c'est la premiere fois que je frappe quelqu'un tu sais moi en general je suis douce et calme posée et polie mais c'est leurs fautes"
elle tendit les bras avec l'intention de sauter a nouveau . elle essaya de retirer la main du jeune homme qui lui broyait l'epaule mais ne reussi pas aparement il aimait la voir soufrir

[mon perso avait relaché la jeune fille...]

Il ne faisait pas du tout attention au fait qu'elle s'apprêtait à sauter. Il n'était pas responsable de l'état psychique des pensionnaires de cette maisons de tarés.

"Bin tu apprendras qu'à frapper quelqu'un, on doit s'attendre au retour. Surtout ici." Il avait relâché Valentine mais n'avait aucune honte de ce qu'il avait fait.

Et voila qu'elle se mettait à pleurer. Ils acceptaient vraiment n'importe qui ici; elle ressemblait plus à une gamine perdue dans un monde de brutes qu'à une délinquante.

Il lui posa franchement la question:

"Tu fais quoi ici? J'veux dire, on t'a envoyé pour quoi? Parce que j'te vois mal en train de traîner dans les rues..." Enfin, elle pouvait très bien juste cacher son jeu.

"moi c'est ma maman qui me donnait de sa quand j'etait plus petite maintenant sije n'en prend pas asser je devien bizard et je me send mal"
dit elle en tendant un cachet d'extasy au garçon
"c'est mon papa qui ma amené içi parce que depuis qu'il est pu avec maman elle prend de sa et elle men donnai aussi "
elle regarda le garçons les yeux toujours plein de larmes et s'aprocha encore un peu plus du vide ,elle commençait a aller mal elle tremblait et sentait ses yeux partir dans tous les sens elle ferma les yeux et avala le cachet qu'elle avait montrer au garçon et tomba en ariere elle resta donc la sur le sol la tete dans les mains a respirer fortement de peur de ne plus jamais pouvoir le faire

Stéphane sauta sur le balcon, à coté de la jeune fille allongée sur le sol, à l'observer. Il attendit sagement qu'elle reprenne un état à peu près normal, enfin, autant qu'on pouvait l'être en venant de se droguer.

Il l'avait sagement écouté, sans toucher à l'exctasy, sachant très bien qu'ici il n'en aurait pas la possibilité de le revendre, et que les risques encourus s'il se faisait prendre étaient trop grands pour qu'il le garde jusqu'à ce qu'il sorte définitivement du pensionnat. Et puis, il avait déjà assez à faire avec sa malédiction et l'alcool; il ne voulait pas s'en rajouter plus.

"Hé, ca va?" S'asseyant à coté de la jeune fille, il la secoua légèrement, pour voir si elle était toujours vivante.

valentine etait flasque et le garçon se demanda meme si son corps etait vide puis elle eut un sursaut , releva la tete et dit :
"hen? quoi ? a oui je crois que sa va "
elle tourna alor sa tete vers le ciel et contempla les etoiles puis elle ferma les yeux et demanda:
"toi pourquoi tu est la ?"

Il s'assit à coté de la jeune fille, qui ne semblait pas être dangereuse, et répondit d'un ton neutre:

"Oh pour les conneries classiques, butage de crétins, vols, combats de rues, traumatisage de mémés et tout..." Il se tut. Il ne voulait pas tellement en parler. Et encore moins de la raison de cette vie. Sa malédiction.

Silence. Il s'allongea et regarda les cieux.

"C'est bizarre que tu sois ici... tu ressembles plus à une p'tite fille paumée qu'à une membre de gang... Enfin, y'a de tout ici..." remarqua-t-il sans méchanceté.